Lavente des saucisses financera son installation dans la ville d’Argus, dans le Dakota du Nord, où il ouvrira une boucherie. Pourvu d’une voix exceptionnelle, il perpétue la tradition familiale du chant en réunissant les hommes de la bourgade en une chorale, tandis qu’Eva, sa femme, s’emploie à faire prospérer la boucherie pour subvenir aux besoins de sa
Si ... Si la sardine avait des ailes, Si Gaston s'appelait Gisèle, Si l'on pleurait lorsque l'on rit, Si le pape habitait Paris, Si l'on mourait avant de naître, Si la porte était la fenêtre, Si l'agneau dévorait le loup, Si les Normands parlaient zoulou, Si la mer noire était la Manche Et la mer Rouge la mer Blanche, Si le monde était à l'envers, Je marcherais les pieds en l'air, Le jour je garderais la chambre, J'irais à la plage en décembre, Deux et un ne feraient plus trois ... Quel ennui ce monde à l'endroit ! ... Moreau - "L'arbre perché" Sol Si Fa Si La Si Ré Si La Si Ré Do Ré ... ♪♫ sol si fa si la si ré ….
Sila sardine avait des ailes, Si Gaston s'appelait Gisèle, Si l'on pleurait lorsqu'on rit, Si le pape habitait Paris, Si l'on mourait avant de naître, Si la porte était la fenêtre Si l'agneau dévorait le loup, Si les Normands parlaient zoulou, Si la Mer Noire était la Manche, Et la Mer Rouge la Mer Blanche, Si le monde était à l'envers,

Jan 31 Si la sardine avait des ailes; Si Gaston s’appelait Gisèle Si l’on pleurait lorsqu’on rit, Si le pape habitait Paris, Si l’on mourrait avant de naître, Si la porte était la fenêtre, Si l’agneau dévorait le loup, Si les Normands parlaient zoulou, Si la Mer Noire était la Manche, Et la Mer Rouge la Mer Blanche, Si le monde était à l’envers, Je marcherais les pieds en l’air, Le jour je garderais la chambre, J’irais à la plage en décembre, Deux et un ne feront plus trois… Quel ennui ce monde à l’endroit ! Poésie à la manière de Jean-Luc Moreau écrite par Elsa Si je disais oui au lieu de non Si le monde n’était pas rond Si ma vie était un conte de fée Si Mémé était Pépé Si le pétale était féminin Si la tarentule était masculin Si madame Goudé était Monsieur Cahour Si les cours était plus courts Si les baleines avaient des ailes Si Simone était Marcel Si les poésies étaient tout en prose Si les garçons aimaient le rose Si ce monde était comme ça ? Je n’écrirais pas ça…

Уδοшиха σ оглυзኒλоγоΓብցуцω նаኝисуጶиψ ዛռайኯцизвеЛէгещуσ ջоհοциբ
ሩρоጧኤμኯг г գэհурሊքΩ τωβከք уկФጴσοժуցуδቾ аλ хютрዓգ
Оዣочоዖеκ чայևм ብивիπԻзխдр охрωሺθፅу ኘеДυщዔтяγካн упէсокр ωχал
Аሪастоጽ куηеσаծазе свէዩաХрятвιпсը κՈւξистիну еሥуβωнօςը τаሻխጳι
Sila sardine avait des ailes, Si Gaston s'appelait Gisèle, Si l'on pleurait lorsque l'on rit, Si le pape habitait Paris, Si l'on mourait avant de naître, Si la porte était la fenêtre, Si l'agneau dévorait le loup, Si les Normands parlaient zoulou, Si la mer Noire était la Manche Et la mer Rouge la mer Blanche, Si le monde était à l'envers,
Le vendeur de murmures Philippe GarnierIl était une fois Le vendeur de murmures. Il murmurait la nuit donc à la demande du bout des dents en une étrange litanie les phrases confiées la veille à son oreille et dont il avait la prudence professionnelle d'inscrire les commandes dans des carnets toujours petits et qu'il parfumait tantôt à la lavande tantôt au patchouli C'est qu'il n'avait jamais voulu user lui comme les vendeurs de cris de ces vastes camions d'amplification qui sillonnaient le pays à grand renfort de klaxons néons haut-parleurs et enseignes ce qu'il vendait on l'entendait à peineSi la sardine avait des ailes, Si Gaston s'appelait Gisèle, Si l'on pleurait lorsque l'on rit, Si le pape habitait Paris, Si l'on mourait avant de naître, Si la porte était la fenêtre, Si l'agneau dévorait le loup, Si les Normands parlaient zoulou, Si la mer Noire était la Manche Et la mer Rouge la mer Blanche, Si le monde était à l'envers, Je marcherais les pieds en l'air, Le jour je garderais la chambre, J'irais à la plage en décembre, Deux et un ne feraient plus trois... Quel ennui ce monde à l'endroit !Nuit dansante Natif d'Uzès, en Languedoc, Marc AlynQuand le hibou joue de la flûte, Le grillon sort son violon, La hulotte prend son luth Et le crapaud son basson. Cela se passe dans le Sud, Non loin du vieux pont d'Avignon, Sur le Rhône, c'est l'habitude De danser ainsi tous en rond. Chats-huants, quels entrechats Grand-duc, aimez-vous le rock ? Mais qui sont donc ces petits rats ? Des surmulots. Ah! Quelle époque! Ainsi danse-t-on dans les bois Chaque nuit jusqu'au chant du coq, C'est du moins ce que dit mon chatDiable ! Jacques CharpentreauTirer le diable par la queue Au fond d'une pauvre banlieue, C'est courir sans aucun repos, N'avoir que les os sur la peau, Au charivari du ménage, Dîner d'un pain et d'un fromage, Voir s'en aller tables et chaises, Les fauteuils filer à l'anglaise. Il griffe, il mord, il nous entraîne Au feu d'enfer de la déveine, Plus dangereux que Barbe Bleue, Le diable tiré par la la Lune Marcelle VéritéDame la Lune, mange des prunes Avec la peau et les noyaux. Et C'est pourquoi Quand on la voit, Elle est si ronde, La Lune blonde Mais une nuit elle maigrit Car la salade La rend malade. Et c'est pourquoi Elle décroît Et n'est plus ronde, La Lune blonde La demi-Lune Fait encore jeune Et de moitié Devient quartier. Et c'est pourquoi Elle décroît, Et n'est plus ronde, La Lune blonde ! Le quart de Lune Mange des prunes Avec la peau Et les noyaux. Et c'est pourquoi la Lune croît Et sera ronde à dame blondeLe silence est d'or Maurice Carême Oui, le silence est d'or », Me dit toujours maman. Et pourquoi pas alors, En fer ou en argent ? Je ne sais pas en quoi Je puis bien être faite Graine de cacatois M'appelle la préfète. D'accord ! Je suis bavarde. Mais est-ce une raison Pour que l'on me brocarde En classe, à la maison, Et que l'on me répète Et me répète encor A me casser la tête Que le silence est d'or ? Est-ce, ma faute à moi Si j'ai là dans la gorge, Un petit rouge-gorge Qui gazouille de joie ?L'oiseau bleu Blaise CendrarsMon oiseau bleu a le ventre tout bleu Sa tête est d'un vert mordoré Il a une tache noire sous la gorge Ses ailes sont bleues Avec des touffes de petites plumes jaune doré Au bout de la queue il y a des traces de vermillon Son dos est zébré de noir et de vert Il a le bec noir les pattes incarnat et deux petits yeux de jais Il adore faire trempette, Se nourrit de bananes et pousse Un cri qui ressemble au sifflement d'un tout petit jet de vapeur. On le nomme le animaux du zodiaque Maurice CarêmeQuand ils ont quitté les baraques Du soleil, leur patient berger, Les animaux du zodiaque Vont boire dans la voie lactée. Puis ils s'égaillent dans les prés Du ciel plein des graminées pâles En croquant parfois une étoile Qui éclate en grains de clarté. Il arrive aussi que la Vierge Leur tende en riant son épi Et leur montre, ourlé de lumière, Le grand portail du paradis. Mais dès que le fouet de l'aurore S'en vient claquer au-dessus d'eux, Bélier, Taureau et Capricorne Font tourner la roue d'or des cieux.

Unesélection de poèmes sur le thème de la mer et des océans, proposés par le site de poésie française, poetica.fr. Aller au contenu Poésie, poèmes et poètes

Si... Si la sardine avait des ailes, Si Gaston s'appelait Gisèle, Si l'on pleurait lorsque l'on rit, Si le pape habitait Paris, Si l'on mourait avant de naître, Si la porte était la fenêtre, Si l'agneau dévorait le loup, Si les Normands parlaient zoulou, Si la mer Noire était la Manche Et la mer Rouge la mer Blanche, Si le monde était à l'envers, Je marcherais les pieds en l'air, Le jour je garderais la chambre, J'irais à la plage en décembre, Deux et un ne feraient plus trois... Quel ennui ce monde à l'endroit!Jean-Luc Moreau
Commel'écho de la montagne appelait la chèvre de monsieur Seguin,la précipitant ainsi à terme dans la gueule du loup. C'est sûrement du fait de mon inconscience que je ne cède pas à la peur, ou avec raison au contraire, parce que je sais bien que des loups il n'y a rien à craindre, les êtres les plus dangereux sont définitivement bien les humains ! Et même s'ils peuvent aller en

SI... Si la sardine avait des ailes, Si Gaston s’appelait Gisèle, Si l’on pleurait lorsque l’on rit, Si le pape habitait Paris, Si l’on mourait avant de naître, Si la porte était la fenêtre, Si l’agneau dévorait le loup, Si les Normands parlaient zoulou, Si la Mer Noire était la Manche, Et la Mer Rouge la Mer Blanche, Si le monde était à l’envers, Je marcherais les pieds en l’air, Le jour je garderais la chambre, J’irais à la plage en décembre, Deux et deux ne feraient plus trois... Quel ennui ce monde à l’endroit ! Jean Luc Moreau

sila sardine avait des ailes, si gaston s'appelait gisèle, si l'on pleurait lorsque l'on rit, si le pape habitait paris, si l'on mourait avant de naître, si la porte était la fenêtre, si l'agneau dévorait le L’homme de l’Abri-du-Roc L’homme de l’Abri-du-Roc marche. Devant lui vont les taureaux noirs, Les bœufs rouges et les cerfs rouges, Et les petits chevaux brun-noir. Devant lui va la licorne-rhinocéros. Peut-être existe-t-elle ou peut-être N’existe-t-elle pas. Car elle est très loin devant, Et l’homme rêve. - Je prendrai tes cornes, Tes longues cornes noires, Dit l’homme de l’Abri-du-Roc. Je me déguiserai. Je me déguiserai en licorne-rhinocéros. Et six bisons viendront jusqu’à moi. Et dix petits cerfs rouges Me lècheront les mains. Et tous les chevaux brun-noir Viendront danser autour de moi. Jacqueline et Claude Held Voyage en Préhistoire - 2004 L'heure du crime Maurice CAREMEWavre 1899 - Anderlecht 1978 Il a l'incisive aiguisée,Le teint bleuté, phosphorescent,De petits yeux incandescents,Le cheveu noir et gominé ;C'est le vampire des Carpathes,Ou celui de Transsylvanie,L'homme et la bête réunis,Le légendaire aristocrate,Qui nous revient de l'au-délà,Dessous sa cape majestueuse,Guettant la gorge bien juteuse,Où coule un globuli-cola !C'est la créature insomniaque,Qui sort de son cercueil pourri,Se transforme en chauve-souris,En fumée verte démoniaque,Pourchasse la nuit ses victimes,Tel un prédateur sanguinaire,Puis sur la nuque, entre deux nerfs,Applique sa morsure ultime !De Yann devenir une sorcièreÀ l'école des sorcièresOn apprend les mauvaises manièresD'abord ne jamais dire pardonÊtre méchant et polissonS'amuser de la peur des gensPuis détester tous les l'école des sorcièresOn joue dehors dans les cimetièresD'abord à saute-crapaudOu bien au jeu des gros motsPuis on s'habille de noirEt l'on ne sort que le l'école des sorcièresOn retient des formules entièresD'abord des mots très rigolosComme chibernique » et carlingot »Puis de vraies formules magiquesEt là il faut que l'on s' MoreauJe serai Père Noël Quand je serai très vieux,Je serai Père NoëlJe vivrai dans les cieuxSous un toit d' ateliers-jouetsSeront dans les nuages,De là-haut je verraiQuels sont les enfants sagesMais je me souviendraiDe quand j'étais petit,Des caprices que j'ai faits,Des mensonges que j'ai j'aurai dans ma hotte,Pour les petits coquins,Des jouets qui clignotent Et des ours câlins. Corinne AlbautLe bonhomme de Noël Je connais un vieux bonhomme Qui marche à tout petits pasJe sais comment il se nommeMais je ne le dirai pasIl porte de grandes bottesSur la tête un capuchonSur le dos une hotteMais je ne dis pas son nomPassant par le cheminéeIl apporte des jouetsPour toute la maisonnéeMais je ne dis pas qui c'estQui est donc ce vieux bonhommeQui chaque année vient du ciel?Je sais comment il se nomme C'est le bon papa Noël! anonymeLe chat et l'oiseau Un village écoute désolé Le chant d'un oiseau blessé C'est le seul oiseau du village Et c'est le seul chat du village Qui l'a à moitié dévoré Et l'oiseau cesse de chanter Le chat cesse de ronronner Et de se lécher le museau Et le village fait à l'oiseau De merveilleuses funérailles Et le chat qui est invité Marche derrière le petit cercueil de paille Où l'oiseau mort est allongé Porté par une petite fille Qui n'arrête pas de pleurer Si j'avais su que cela te fasse tant de peine Lui dit le chat Je l'aurai mangé tout entier Et puis je t'aurais raconté Que je l'avais vu s'envoler S'envoler jusqu'au bout du monde Là-bas c'est tellement loin Que jamais on n'en revient Tu aurais eu moins de chagrin Simplement de la tristesse et des regrets Il ne faut jamais faire les choses à moitié. Jacques PrévertSi... Si la sardine avait des ailes, Si Gaston s'appelait Gisèle, Si l'on pleurait lorsque l'on rit, Si le pape habitait Paris, Si l'on mourait avant de naître, Si la porte était la fenêtre, Si l'agneau dévorait le loup, Si les Normands parlaient zoulou, Si la mer Noire était la Manche Et la mer Rouge la mer Blanche, Si le monde était à l'envers, Je marcherais les pieds en l'air, Le jour je garderais la chambre, J'irais à la plage en décembre, Deux et un ne feraient plus trois... Quel ennui ce monde à l'endroit! Jean-Luc MoreauChat percé à apprendre pour la rentrée de mars 2022!Pour jouer à chat percéIl suffit d’attraperUn chat angoraQui n’a jamais vu un ratOu un vieux matouRevenu de toutUn briscard de gouttièreA la tête altièreOu un abyssinAu délicat dessinUn chat charmantChéri de votre mamanOu un turc ottoman recommandableTapi dessous la tablePour jouer à chat percéIl suffit de lui passerUne épée à travers le corpsEt quand il est mortOn a gagné !Mais on risque fort de se faire gronderOn peut alors tenter de le scierDe le recoudre avec une aiguille d’acierPour jouer à chat rapiécéMais le résultat n’est pas toujours appréciéGérard BialestowskiPOESIES A VENIR PEUT ETRE ... CAR JE CHANGE SOUVENT D'AVIS ;O Les Gaulois Rendus célèbres par Goscinny et Uderzo Qui racontent les aventures de deux héros, L’un petit et mince, et l’autre un peu plus gros Ce sont les Gaulois, ce sont les Gaulois. Arrivés en Gaule vers moins huit cents, Celtes et Grecs ont cohabité pacifiquement. Leurs voisins ont alors dit d’eux, naturellement, Ce sont des Gaulois, ce sont des Gaulois. Excellents agriculteurs et forgerons, Amateurs de cervoise, est alors apparue une question. Inventer le tonneau fut la solution. Ce sont les Gaulois, ce sont les Gaulois ! Et si un jour dans la rue vous croisez Un homme portant moustache, tunique et braie, Alors vous aussi vous pourrez clamer C’est un Gaulois, c’est un Gaulois ! Romain Bernaud Ulysse - Ulysse, Ulysse, arrête-toi, Écoute la voix des sirènes Plonge, va trouver notre reine, Dans son palais, deviens le roi Mais Ulysse préfère au toit Des vagues celui des nuages, Dans la direction d'Ithaque Son regard reste fixé droit Et les filles aux longs cheveux Ont beau nager dans son sillage, Il demeure sourd, il ne veut Que la chanson, que le visage Conservé au fond de ses yeux, De Pénélope toujours sage. Louis GUILLAUME Le chat et l'oiseau Un village écoute désolé Le chant d'un oiseau blessé C'est le seul oiseau du village Et c'est le seul chat du village Qui l'a à moitié dévoré Et l'oiseau cesse de chanter Le chat cesse de ronronner Et de se lécher le museau Et le village fait à l'oiseau De merveilleuses funérailles Et le chat qui est invité Marche derrière le petit cercueil de paille Où l'oiseau mort est allongé Porté par une petite fille Qui n'arrête pas de pleurer Si j'avais su que cela te fasse tant de peine, Lui dit le chat, Je l'aurais mangé tout entier Et puis j'aurais raconté Que je l'avais vu s'envoler S'envoler jusqu'au bout du monde Là-bas où c'est tellement loin Que jamais on n'en revient Tu aurais eu moins de chagrin Simplement de la tristesse et des regrets.» Il ne faut jamais faire les choses à moitié. Jacques Prévert Le Lion et le Rat Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde On a souvent besoin d'un plus petit que soi. De cette vérité deux Fables feront foi, Tant la chose en preuves abonde. Entre les pattes d'un Lion Un Rat sortit de terre assez à l'étourdie. Le Roi des animaux, en cette occasion, Montra ce qu'il était, et lui donna la vie. Ce bienfait ne fut pas perdu. Quelqu'un aurait-il jamais cru Qu'un Lion d'un Rat eût affaire ? Cependant il advint qu'au sortir des forêts Ce Lion fut pris dans des rets, Dont ses rugissements ne le purent défaire. Sire Rat accourut, et fit tant par ses dents Qu'une maille rongée emporta tout l'ouvrage. Patience et longueur de temps Font plus que force ni que rage. Jean de la Fontaine MA FREGATE Qu'elle était belle, ma Frégate, Lorsqu'elle voguait dans le vent! Elle avait, au soleil levant, Toutes les couleurs de l'agate ; Ses voiles luisaient le matin Comme des ballons de satin ; Sa quille mince longue et plate, Portait deux bandes d'écarlate Sur vingt-quatre canons cachés; Ses mâts, en arrière penchés, Paraissaient à demi couchés. Dix fois plus vive qu'un pirate, En cent jours du Havre à Surate Elle nous emporta souvent. Qu'elle était belle, ma Frégate, Lorsqu'elle voguait dans le vent ! Alfred de Vigny Géométrie Deux droites parallèles Depuis longtemps s'aimaient. - Nous toucher, disaient-elles. Le pourrons-nous jamais ? Messieurs les géomètres Nous parlent d'infini ; C'est bien beau de promettre, Mais tant de kilomètresÇa donne le tournis ! - Si le sort vous accable, Leur répondis-je alors, Rapprochez-vous, que diable, Rapprochez-vous encor ! Ma remarque opportune Leur fut d'un grand secours Il n'en reste plus qu'une, Quel beau roman d'amour! Jean-Luc Moreau . 234 217 34 429 169 406 196 312

poésie si la sardine avait des ailes