Ace moment, sa liberté s'arrête la celle des autres; Et vice versa, si les personnes la se trouve il y a quelqu'un veut pendre un photo et ils vont a ailleurs. La liberté de le 'photographe' commence celle des autres. Dans la vie, on fait quelque chose pour laisser les autres ont le dois quotidien, et les autres font le mémé.

La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, dont l’article 4 dispose que La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui […] ». On peine à mieux dire les choses. Là où rien n’est interdit en amont, nous devons pouvoir faire absolument ce que nous voulons tant que cela ne cause pas de préjudice à nos contemporains.» Denys de Béchillon L’Express, publié le 27/07/2021 à 1451 , mis à jour le 28/07/2021 à 1657 Je me posais la question de savoir si le fait d’avoir la liberté * De pulvériser des insecticides à proximité des écoles et des voies de passage.* De polluer sols, nappes, rivières, cultures et finalement nos aliments. *De disperser partout des perturbateurs endocriniens. * De continuer à tolérer l’utilisation du glyphosate.* De favoriser la malbouffe donc l’obésité le diabète, à origine de comorbidités redoutables en cas de rencontre avec le virus* D’utiliser les cosmétiques allergisants polluant air extérieur et intérieur. *De libérer des particules fines inhalées dans l’air ambiant ; irritantes pour les muqueuses respiratoires et oculaires. La sensibilité des individus aux pollens est ainsi accrue lors des pics de pollution. *De vendre des produits toxiques comme Les assainisseurs d’air, Les cires à meubles et à planchers, Les détergents à lessive ou à vaisselle et assouplisseurs, Les engrais et pesticides ; Les pâtes de calfeutrage et adhésifs ; Les peintures, teintures, vernis, solvants et décapants ; * De provoquer une augmentation des GES, un déséquilibre climatique aboutissant à ces catastrophes actuelles détruisant des familles, tuant des gens dans des famines, incendies… des inondations des guerres, des migrations… * De permettre et d’amplifier les inégalités sociales. * D’empoisonner le milieu marin par des rejets de matières radioactives dans le Gouf de cap Breton, par exemple, et l’irradiation des zones de stockage sur terre, sans oublier les risques, pour tous, de catastrophes nucléaires, tout ceci sans demander l’avis des citoyens ! ne causait pas de préjudices à nos contemporains, donc ne nuisait pas à autrui, tout cela bien sûr, sous contrainte, subi par tous, car il faut bien manger, respirer, se vêtir, se déplacer… Les indications étant sournoisement dissimulées par des logos ou des textes illisibles. La décision, par les pouvoirs publics, de se refuser à faire le nécessaire pour atténuer d’abord, éliminer ensuite, ces préjudices, présente donc une toxicité sociale certaine. La destruction du bien commun nuit à autrui bien avant de se nuire à lui-même.» Le dirigeant et le citoyens réfractaire présentant, par le fait statistique, un risque accru d’infection, il menace de contaminer les tiers sur une échelle plus grande. La protection de la santé publique celle de la nation tout entière – exige donc qu’on le pousse à dépasser ses préventions. » écrit Denys de alors ne pas prévoir un passe sanitaire obligatoire pour avoir l’autorisation d’entreprendre, après des vérifications indépendantes suffisantes, des actions ne causant pas de préjudices et ne mettant pas en jeu la santé et la vie des contemporains ? On s’apercevrait alors que la politique économique actuelle n’est plus possible et qu’il faut en changer ! Signé Georges Vallet crédits photos Pinteresthommage a NELSON MANDELLA – le blog de michelotte Citation liberté, Pensée positive citation, Liberté d’expression

Libertéscontre libertés. Il y a eu longtemps acceptation de ce précepte modéré qui voulait que «la liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres». C’était un La liberté est-elle indissociable de l'Autre? I. Introduction Un adage nous dit ceci Notre liberté s’arrête là où commence celle de l’autre ». Qu'y a-t-il de plus simple que cette phrase ? En effet, notre liberté est freinée lorsque nous rencontrons la liberté d’une autre personne. La croyance populaire à propos de la liberté incite à admettre que la liberté est une propriété individuelle. Nous conquérons notre liberté et personne ne peut nous la reprendre. Dans cette vision de la liberté, l’Autre devient un obstacle, un frein, voire un intrus au sein de notre liberté. L’affirmation qui dit que la liberté c’est de ne pas avoir de contraintes y prend tout son sens. Toutefois, selon Rousseau, lorsqu’il dit L’obéissance à la loi qu’on s’est prescrite est liberté » nous démontre tout à fait autre chose. La définition, appréciée du peuple, de la liberté n’est plus une forme d’absence totale de contrainte. En effet, Rousseau nous dit que c’est justement la contrainte qui nous permet d’être libres. La contrainte serait nos désirs, nos pulsions que nous subissons tout au long de notre vie. Lorsque j’ai faim, je ressens un désir de manger. Jean-Jacques Rousseau nous propose de devenir maîtres de nos pulsions et de nos désirs pour devenir des êtres libres, affranchis de ces mêmes pulsions et désirs. La contrainte du désir devient donc une forme de liberté, car le choix est possible assouvir le désir, ne pas l’assouvir ou encore choisir de ne rien faire. Par ailleurs, de nombreux philosophes, dont Kant, nous expliquent que l’autre permet de nous définir. C’est le fameux L’enfer, c’est les autres » de Sartre. Alors que Kant le prend de manière bien plus positive. Mais penserions-nous bien et penserions-nous beaucoup si nous ne pensions pas pour ainsi dire en commun avec les autres qui nous font part de leurs pensées et à qui nous communiquons les nôtres », Emmanuel Kant montre que l’Autre intervient dans la définition de soi ainsi que dans la manière dont nous pensons. Par les échanges que nous avons avec l’Autre, nous réfléchissons et pensons de telle ou telle manière. C’est encore plus vrai lorsqu’il faut poser des choix. Nous pourrions ainsi dire que le choix est une forme de pensée et de réflexion. L’Autre, selon Kant toujours, est donc également une forme de contrainte qui nous permet de penser, de réfléchir et de poser des choix. Néanmoins, il nous faut éclaircir quelques positions en ce qui concerne le terme de ’ contrainte’’. Dans le livre ’ La boîte à outils philosophie’’ des éditions de L’Opportun, la contrainte nous force à faire quelque chose sans nous laisser le choix. Il est donc impossible d’opposer un refus à la contrainte. Si la loi de la pesanteur ne m’oblige pas à tomber, elle me contraint à le faire. Le manuel oppose donc la contrainte à l’obligation. Cette dernière repose sur le choix, même si elle s’apparente à une contrainte. J’ai le choix d’obéir à l’obligation scolaire ou non. Toutefois, Rousseau, Kant et les autres philosophes que nous verrons utilisent le mot contrainte au lieu d’obligation même si leur définition de la contrainte est plus tôt celle de l’obligation comme vue dans le livre utilisé en cours et cité plus haut. Mettons-nous donc d’accord sur les notions de contraintes et d’obligations. Par souci de clarté, la contrainte repose sur le choix et l’obligation ne peut être opposée à un refus. Le problème est donc bien présent. Nous avons d’une part, une croyance populaire qui désigne la Liberté comme une propriété individuelle où l’absence de contrainte est primordiale, et donc de l’Autre aussi. Et d'autre part, plusieurs philosophes qui soulignent que la Liberté ne peut se faire sans l’Autre. Cette Liberté serait-elle donc indissociable de l’Autre ? Dans ce qui suit, nous allons d’abord tenter de définir la notion de liberté grâce à Sartre, Kant et Rousseau. Nous verrons par ailleurs s’il est possible de faire des choix propres à Soi sans l’Autre et, bien sûr, qui est l’Autre avec Arendt, Nietzsche, Rousseau et Kant. Enfin, nous passerons de la liberté individuelle à la liberté collective par un apport des différents aspects vu au cours de la dissertation notamment par la précision de Rousseau et Kant qui en parle de manière très claire et en différents points. II. Médiation philosophique Chapitre 1er La Liberté devrait se définir comme être libre de faire ses propres choix Jean-Paul Sartre nous dit ceci Être libre, ce n'est pas pouvoir faire ce que l'on veut, mais c'est vouloir ce que l'on peut ». Cette phrase sera une sorte de résumé de ce qui va suivre dans le texte. En effet, nous ne sommes pas libres de faire ce que l’on veut, mais de vouloir ce que l’on fait dans le sens ou le vouloir, c’est poser un choix. Avant toute chose, il nous faut définir la liberté et faire une distinction avec l’indépendance. Kant a écrit ça La sauvagerie est l’indépendance à l’égard de toute loi ». Cette phrase amène à distinguer deux termes essentiels. La croyance populaire veut que la liberté ce soit de vouloir faire ce que l’on veut quand nous le voulons comme dit dans l’introduction. Toutefois, selon Kant, agir de telle sorte, c’est agir avec sauvagerie. Vouloir agir comme bon nous semble, c’est nié les règles de comportement à l’égard d’autrui. La loi est donc ce qui nous permet de passer de la sauvagerie à l’humanité. Cette dernière étant la seule à pouvoir donner des lois. Cette distinction primordiale est un élément essentiel pour la définition de la liberté par rapport à l’autre. Définition qui sera développée plus profondément dans le prochain chapitre. Revenons à la citation de Rousseau amenée dans l’introduction L’obéissance à la loi qu’on s’est prescrite est liberté ». Ce que Rousseau entend par la loi qu’on s’est prescrite, c’est l’affranchissement de ses propres désirs et pulsions. L’Homme est constamment en prise avec ses désirs. Pour être libre, l’Homme doit devenir maître de ses désirs. Par exemple, au lieu de se dire J’ai faim, je vais donc manger », il doit s’affranchir en se disant J’ai faim, mais je vais choisir quand je mange ». Cette contrainte que l’Homme affranchi s’impose lui permet de poser des choix. Une fois maître de ses pulsions, plusieurs options se trouvent face à lui. Il peut soit assouvir son désir en se portant vers le ’ pour’’, soit choisir d’attendre ou de ne pas le réaliser en se portant vers le ’ contre’’ ou soit encore de ne rien choisir qui est déjà faire un choix en soi. En d’autres termes, je décide d’obéir à ma contrainte, d’y désobéir ou de ne pas faire de choix. C’est ainsi que Rousseau définit la liberté comme une attitude nous permettant de faire des choix. Partons sur l’acquis comme quoi la penser c’est également réfléchir. Avec ce constat, nous pouvons nous permettre de prendre la citation de Kant Mais penserions-nous bien et penserions-nous beaucoup si nous ne pensions pas pour ainsi dire en commun avec les autres qui nous font part de leurs pensées et à qui nous communiquons les nôtres ». Lorsque je fais un choix, je réfléchis forcément aux conséquences qui en suivront. Ces conséquences peuvent être à court terme, à long terme, légitime, inconsciente… Avant de faire un choix, nous pensons. L’absence de contrainte, et donc de choix, n’est donc plus un synonyme de liberté, mais un terme désignant l’emprisonnement dans ses propres désirs. En effet, sans contraintes, nous ne pouvons choisir d’assouvir nos désirs ou non, nous les assouvissons et la réflexion s’arrête là, nous n’avons pas le choix. Chapitre 2nd L’Autre me permet-il de choisir ? Par une suite logique argumentée précédemment, nous avons pu voir que la liberté s’allie à la contrainte qui permet le choix. Mais qu’en est-il de l’Autre ? Est-ce une contrainte ? Comment le choix se positionne-t-il face à l’Autre ? Tout d’abord, il nous faut éclaircir ce qui lie un Homme à l’Autre. Pour ce faire, prenons la citation d’Arendt Nous humanisons ce qui se passe dans le monde en nous parlant, et, dans ce parler, nous apprenons à être humains ». Par l’humanisation, Arendt parle de nommer des notions abstraites telles que le Bien, le Mal, la Justice… mais aussi les éléments qui nous entourent aussi matérielle que spirituelle. Pour humaniser ces choses qui nous entourent, il faut que les Hommes communiquent entre eux. Ces interactions sociales que sont le dialogue et l’échange permettent de vivre socialement, mais surtout de penser en commun. Toutefois, la citation ne répond pas à la question de Qui est l’Autre ? » Comment y répondre dans ce cas ? Voyons de plus près ce que Nietzsche nous dit Une pensée vient quand elle veut et non quand je le veux ». Quand Nietzsche parle de venir quand elle [la pensée] veut, il insinue que la pensée est indépendante de notre conscience, qu’elle est donc régie par notre inconscient. Cet inconscient serait donc un Autre ». Une projection mentale que l’on se fait lorsque l’on se parle à nous-mêmes. Prenons exemple sur Robinson Crusoé perdu, seul, sur une île. Tout au long du récit, Robinson se crée des personnages pour éviter de sombrer dans la folie, et pourtant il est seul. Notre homme se construit des Autres par la seule force de ses pensées. Il crée également des lois et des objectifs. C’est l’exemple parfait qui démontre que l’Homme, même seul, est toujours accompagné, car c’est un besoin vital pour ses fonctions mentales et cognitives. L’Autre existe toujours quelque part en nous. Autrui n’est pas seulement soi. Selon Rousseau, c’est aussi la Loi, l’État Il n’y a que la force de l’état qui fasse la liberté de ses membres ». Pour Jean-Jacques Rousseau, l’État c’est la souveraineté du peuple ; la force de cet État, c’est l’influence qu’ont les autres membres sur une personne. Cette force est donc la garante de notre liberté grâce aux lois qu’elle instaure. Par ses aspects contraignants, notre liberté est assurée. Si l’Homme applique la liberté individuelle comme vue par la croyance actuelle en faisant ce qu’il veut, quand il veut et où il veut, il atteint l’ordre social et la liberté de l’Autre. S’il atteint à la liberté de l’Autre en affectant l’ordre social, la force de l’État le ramènera de force à respecter la loi. L’État devient donc une contrainte pour qui veut exercer sa liberté individuelle. Cette contrainte permet donc de poser des choix comme vus au chapitre précédent. Nous sommes donc obligés à respecter la contrainte du respect de la Loi et de l’ordre social qui fait la force de l’État. Avec ce qui vient d’être dit et grâce à l’analyse de la loi prescrite vue plus haut, Rousseau exprime que l’Autre est une loi et une contrainte. L’Autre nous permet donc d’exercer notre liberté en étant une contrainte qui autorise le choix. Revenons plus en détail sur la citation, Mais penserions-nous bien et penserions-nous beaucoup si nous ne pensions pas pour ainsi dire en commun avec les autres qui nous font part de leurs pensées et à qui nous communiquons les nôtres », de Kant. La pensée commune est une notion qu’il faut comprendre. Lorsque nous réfléchissons, nous le faisons par trois aspects différents penser par soi-même en faisant usage de notre propre raison, penser en commun avec les autres en échangeant et en discutant, penser en se mettant à la place de tout autre. Le premier ne nous intéressant pas prioritairement, concentrons-nous sur la pensée en commun et en nous mettant à la place de l’autre. Lorsque nous choisissons, nous réfléchissons aux conséquences de nos actes sur notre vie à venir, mais Kant ajoute que nous réfléchissons également sur la conséquence par rapport à l’autre, à ceux qui nous entourent. Notre identité est construite par rapport aux jugements que feront les autres sur nos comportements et donc les choix que nous faisons et ferons. L’autre est donc celui qui permet de se définir en partie au travers de son regard, des échanges que nous avons, de la culture et des croyances populaires. L’Autre, nous accompagnant dans nos cheminements de pensées, nos réflexions, et donc nos choix, notre liberté ne s’arrête plus là où commence celle de l’autre, mais commence là où celle de l’autre commence et s’arrête là où celle de l’autre s’arrête. Nous pensons donc en commun avec l’autre selon Kant. Nous appellerons cette notion la pensée commune. Si nous associons cette notion avec la liberté de choix de Jean-Jacques Rousseau, nous obtenons une nouvelle forme de liberté contrariant la croyance commune la liberté collective. Chapitre 3ème De la Liberté individuelle à la Liberté collective Renoncer à sa liberté, c’est renoncer à sa qualité d’homme, aux droits de l’humanité et même à ses devoirs, il n’y a nul dédommagement possible pour quiconque renonce à tout ». Voici ce qu’on peut lire chez Rousseau, pédagogue reconnu. Si la logique précédemment vue nous a permis de dire que l’Homme libre est celui qui a des devoirs et des obligations, ainsi que des contraintes, cette citation permet d’aller bien plus en profondeur et d’apporter des nuances non négligeables. La notion de contrainte permet de définir le choix que l’on doit poser, et donc la liberté. Toujours selon Rousseau, l’Homme est libre de choisir de suivre une contrainte ou pas. Il est possible que l’Autre nous force à échanger notre liberté, un droit fondamental de la condition humaine, contre un bien matériel tel qu’un financement conséquent, ou immatériel comme le droit à sa vie ou la protection contre d’éventuels brigands. Si tel est le cas, l’Homme perd ce qui fait de lui un être libre, ou encore un être humain avec tous les aspects de droits, de devoirs qui se trouvent derrière cette notion. C’est par cet aspect que si une personne renonce à sa liberté, elle renonce à ses choix. L’Autre devient donc un frein à notre liberté. Toutefois, l’Autre peut également être une aide à notre liberté. En effet, nous pouvons considérer la liberté comme individuelle et donc repartir sur le processus de renonciation décrit au paragraphe précédent. Par contre, lorsqu’elle est comprise comme une liberté garantie par la force de l’État et l’ordre social, lorsque nous décidons de désobéir à la liberté collective et de retourner à la liberté individuelle, en faisant ce que nous voulons, où nous le voulons, quand nous le voulons, nous serons isolés, marginalisés, exclus comme dit cette citation de Rousseau vue plus haut Il n’y a que la force de l’état qui fasse la liberté de ses membres ». Cette exclusion enlève donc tous les droits, les devoirs, les obligations et surtout les contraintes qui nous permettent de faire des choix et de donc d’être libres. Cet ordre social et cette force de l’État nous ramèneront quoiqu’il arrive dans le cadre de la loi qui garantit notre liberté, ou, du moins, la liberté collective. L’autre nous accompagne dans nos choix, il nous aide donc à conquérir notre liberté et à la conserver. Mais si nous ne communiquons pas ou que nous refusons l’échange, pouvons-nous espérer conquérir notre liberté ? L’Autre devient un élément essentiel à la liberté. Admettons que nous ne soyons pas dans un monde où la force de l'état est assimilée, mais dans un monde anarchiste où c’est la liberté individuelle qui prime. Nous ne serions jamais totalement libres, car notre vie, ce qui fait de nous des êtres humains ; notre ’ liberté’’ serait entravée par celle de l’autre en face de nous. Si nous pouvons le tuer librement, le voler librement, il le pourra aussi. La liberté collective a comme force de pouvoir garantir notre sécurité et d’être protégés des libertés individuelles anarchistes qui nous porteraient préjudice. Nous pouvons être sûrs que la liberté collective s’applique à tous les membres de l’État, sinon elle ne serait pas collective. III. Conclusion Dans l’introduction, nous nous demandions si la liberté était indissociable de l’Autre, que la croyance populaire amenait une définition de la liberté controversée et contrariée par rapport aux définitions amenées par divers philosophes tels que Rousseau, Kant et autres. Par la logique suivie durant les 3 chapitres, nous pourrions dire que la liberté n’est pas envisageable sans avoir d’Autre en face de soi. Même lorsque l’Autre devient un frein à la liberté ou lorsque l’Autre est en réalité une projection de notre conscience. L’Autre est aussi nécessaire pour définir la liberté. Comment pourrions-nous nous dire libres, si nous étions totalement seuls ? La croyance populaire considère l’Autre comme une entrave, mais si nous n’avions jamais connu l’Autre, nous ne saurions dire ce qu’est une entrave et donc d’être libre sans entraves. La réponse à la question ne peut être absolue. Toutefois, nous avons démontré qu’il pouvait y avoir deux réponses possibles, deux choix envisageables. Nous sommes libres, dans tous les sens du terme, de choisir celle qui nous convient. La liberté individuelle, mise en avant par une société capitaliste est tout aussi vraie qu’une liberté collective. D’ailleurs, nous pourrions être libres individuellement au sein d’une liberté collective. Ce serait difficilement conciliable, mais ça pourrait donner quelque chose de nouveau, de riche et de très intéressant. Néanmoins, si nous étions totalement seuls, sans échanges, sans contact, mais avec la connaissance d’un Autre existant quelque part ailleurs dans le monde. Nous pourrions être considérés comme entièrement libres comme le Capitaine Némo dans Vingt-mille lieues sous les mers de Jules Verne. À la fin, lorsque le Capitaine plante le drapeau noir de l’anarchie sur son vaisseau, il est absolument seul. Le jeu de la liberté individuelle, coûte que coûte, en vaut-il vraiment la peine ? Risquerions-nous la solitude au point d’en devenir mélancoliques ? Pourquoi se passer de la garantie de sécurité et de liberté de l’ordre social ? Rien ne nous empêche de désobéir à certaines contraintes tout en gardant ce contexte sécurisant et social. IV. Bibliographie DHILLY, Olivier, La boîte à outils philosophie les notions, les sujets, les citations, Les Éditions de l’Opportun, Paris Stéphane Chabenat, 460 pages. SARTRE, Jean-Paul, L’Être et le Néant, Bibliothèque des idées, Paris Éditions Gallimard, 1943, 722 pages. VERNE, Jules, Vingt mille lieues sous les mers, Voyages extraordinaires, Éditeur Pierre-Jules Hetzel, 1869-1870. Image de chaînes brisées Philippe Psy, Psychothérapeute, Le petit acte fondateur ! », sur consulté le 04/06/2017 à 23h57, Petit journal, recueil d’histoire sur la vie et les rencontres d’un psychothérapeute. Logo CFEL HELMO, Logo et Documents-types », sur consulté le 05/06/2017 à 00h04, Haute École Libre Mosane. Dessin de Jacques Azam ARBOUET, Coline, Bac 2012 ça sert à quoi la philo ? », sur consulté le 05/06/2017 à 00h21, article de presse de 1jour1actu pour enfants et adolescents avec dessin de Jacques Azam de 2012. Ou AZAM, Jacques, la philosophie expliquée aux enfants », 2012, feutre et crayon sur papier, 20 x 10 cm, dessin de presse. Notes prisent durant le cours de Philosophie de BAC 2 en Éducateur Spécialisé en Accompagnement Psycho-Educatif, donné par Monsieur LELOTTE Christian, durant l’année académique 2016-2017, Haute École Libre Mosane CFEL, possesseur Lyam Bernard. La liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres » dit le proverbe. Ici, un propriétaire a construit une partie de son immeuble (dont la nature nous est inconnue) sur le terrain de son voisin. Ceci arrive souvent, dans les cas où le registre de l’urbanisme n’est pas conforme aux actes de propriétés enregistrés chez les notaires depuis plusieurs Pour les lâches, la liberté est toujours extrémiste », proclame une pancarte brandie dans les rues d’Ottawa. Liberté pour toujours ! », scandent les convoyeurs de la colère français en route pour Paris. I love the smell of freedom in the morning », écrit un député australien sur Facebook, au-dessus d’un cliché du parlement canadien en état de siège. Au nom de la liberté de penser », on interdit désormais aux profs d’aborder les thèmes de la race et de la discrimination dans certaines écoles américaines. Au nom des libertés individuelles », on lève l’obligation du port du masque dans les lieux publics. Et si des insurgés ont violemment envahi le Capitole, le 6 janvier 2021, c’était pour défendre – quoi d’autre ? – la liberté. Décidément, elle a le dos large, cette liberté. On a de plus en plus l’impression qu’elle est vidée de son sens ou, pire, instrumentalisée pour justifier des actions et des politiques antidémocratiques. Comme si tout le monde, désormais, pouvait l’invoquer à toutes les sauces. Mais la liberté, comme disait Pierre Falardeau, n’est pas une marque de yogourt. On galvaude la liberté ; ce n’est pas qu’une impression, me confirme Louis-Philippe Lampron, professeur à la faculté de droit de l’Université Laval et auteur de Maudites Chartes ! 10 ans d’assauts contre la démocratie des droits et libertés, qui vient de paraître aux éditions Somme toute. PHOTO GUILLAUME LAMY, FOURNIE PAR LOUIS-PHILIPPE LAMPRON Louis-Philippe Lampron, professeur à la faculté de droit de l’Université Laval Certains manifestants du convoi de la liberté ont des intentions qui semblent clairement antidémocratiques, constate-t-il. Effectivement, ils se servent de la liberté pour attaquer les fondements des textes à l’intérieur desquels on a enchâssé [les droits et libertés]. » Ces groupes libertariens et complotistes ont une conception absolutiste et désincarnée des droits fondamentaux », qui ne pourraient souffrir aucune limite raisonnable, explique le professeur. Ils oublient un principe essentiel, énoncé par le philosophe britannique John Stuart Mill la liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres. On ne peut pas choisir la liberté qui nous intéresse et faire comme s’il n’y avait que celle-là » dans les chartes, dit M. Lampron. Les droits et libertés doivent être interprétés de manière interdépendante, les uns par rapport aux autres ». Dans son livre, Louis-Philippe Lampron décortique les grands débats qui ont marqué l’actualité québécoise au cours des 10 dernières années, de l’affaire Mike Ward à l’état d’urgence sanitaire en passant par la Loi sur la laïcité de l’État et l’affaire Lieutenant-Duval. Le professeur regrette les attaques incessantes » contre les droits et libertés de la personne, des garanties arrachées de haute lutte par les générations précédentes. Il se désole de la rhétorique populiste autour des chartes, trop souvent présentées comme des tares encourageant le culte de l’individu, la dictature des droits ou le gouvernement par les juges… L’objectif [des chartes], ce n’est pas d’empêcher les gouvernements de gouverner, c’est de les empêcher d’abuser de leur pouvoir à l’encontre de groupes minoritaires », rappelle Louis-Philippe Lampron. En publiant ses réflexions, il espère contribuer à dissiper le bruit ininterrompu et tapageur entourant ce contre-pouvoir essentiel ». Souvent, les attaques contre les droits et libertés proviennent non pas de la rue, mais des hautes sphères du pouvoir. Et ce n’est pas surprenant, dit Louis-Philippe Lampron. Les gouvernements n’aiment pas les contre-pouvoirs, c’est un caillou dans la chaussure. » La loi spéciale adoptée par le gouvernement libéral de Jean Charest pour mater les grèves étudiantes, en mai 2012, est un parfait exemple, selon lui, d’un odieux détournement de l’esprit des chartes ». À l’époque, le gouvernement Charest refusait de parler de grève étudiante », faisant plutôt référence à un boycott ». L’objectif, c’était de saper le caractère collectif du mouvement qu’il avait devant les yeux. » La loi spéciale empêchait les profs de respecter les votes de grève et les forçait à donner leurs cours. Elle empêchait les étudiants de manifester à proximité des campus. Pour justifier cette loi restrictive, le gouvernement avait invoqué le droit fondamental des étudiants d’avoir accès à leur salle de classe, rappelle Louis-Philippe Lampron. J’ai cherché ce droit, je le cherche encore. Il est peut-être dans une annexe de la charte québécoise gardée secrète depuis 1975… ». En 2012, le gouvernement avait brimé le droit des étudiants à manifester en adoptant une loi spéciale. Dix ans plus tard, les membres du convoi de la liberté » peuvent-ils invoquer ce même droit pour bloquer le centre-ville d’Ottawa ? Entre les klaxons et les casseroles, y a-t-il une différence ? Il y a une différence très importante, qui prend la forme de camions de plusieurs tonnes », répond Louis-Philippe Lampron. Oui, manifester est un droit fondamental. Et, oui, une manifestation entraîne nécessairement des inconvénients pour la population. On voit mal comment des manifestants pourraient atteindre leurs objectifs en se réunissant dans le stationnement d’un centre commercial de banlieue en dehors des heures d’ouverture… Mais, encore une fois, ce n’est pas parce qu’un droit est fondamental qu’il est absolu. Ériger une barricade de camions lourds, ce n’est pas une manière de manifester qui bénéficie de la protection offerte par les chartes », estime Louis-Philippe Lampron. Depuis plus de deux semaines, les camionneurs » empiètent largement sur la liberté – et le portefeuille, et la santé mentale – des résidants du centre-ville d’Ottawa. Peu importe la cause, la manière est indéfendable. Ils auront beau s’en réclamer, la scander, l’écrire sur mille pancartes, la gribouiller partout sur leurs camions… ce convoi n’aura jamais de liberté que le nom. Quest-ce qui est préférable : la liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres OU la liberté consiste à faire ce que l'on veut sans nuire à la liberté des autres ? Pour moi, la différence entre ces deux définitions repose sur la frontière entre deux libertés. La première définition construit une frontière d'épaisseur nulle entre deux libertés. La deuxième
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arrêtelà où commence celle des autres. My freedom stops where that of others begins. arrête là où commence celle des autres. One person's freedom ends where another's begins. arrête là où commence le d roit à la sauvegarde de Quand des mesures restrictives sont prises par les politiques comme l’interdiction de voitures, l’interdiction de véhicules polluants, l’interdiction de faire du feu,… certains dénoncent les atteintes à la liberté individuelles. Or, nuire à autrui n’est pas une liberté. C’est pourquoi, tout acte qui pollue peut être réglementé, limité, interdit. Si l’air pollué peut raisonnablement être considéré comme un poison mortel, polluer peut être considéré comme un homicide. La liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres. » La liberté entraine des aberrations comme ceci Rating 1 vote castPolluer n'est pas une liberté, out of 5 based on 1 rating Updated 16 décembre 2019 at 2114
1 Si la liberté menace celle des autres, on tombe dans un rapport de force. -> Chacun (individu ou groupe social, groupe de pression) tentera de pousser son avantage si le rapport de force lui est favorable. -> Ma liberté sera donc d'autant plus menacée et limitée que l'autre parviendra à faire prévaloir la sienne. 2.
Est-ce que les droits s'appliquent tout le temps ? EducadroitToute personne a des droits. Elle peut les exercer dans la limite du respect de la loi et des droits des et respect de l'autreChaque liberté s'arrête là où commence celle des autres. Par exemple, la liberté d'expression te donne le droit d'exprimer tes opinions à condition de respecter les opinions des autres. Tu es aussi libre de dire ce que tu penses mais la loi t'interdit d'insulter quelqu' nos droits sont parfois limités par l'Etat ?Quand il y a un danger pour la sécurité des personnes pandémie, crise sanitaire, menace terroriste..., l'Etat peut décider de limiter les libertés en mettant en place un confinement, l'état d'urgence. Dans notre société, l'Etat est le garant de l'ordre public, c'est-à-dire de la sécurité et de la tranquilité des personnes. Si certains de nos droits peuvent être limités c'est dans l'intérêt de toutes et RETENIRLes droits peuvent, dans certaines circonstances, être le cas notamment lorsque les droits d'une personne entre en conflit avec ceux d'une personne car la liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres ».Les droits peuvent être limités en cas de risques pour la les autres vidéos Educadroit, le droit pour les 6-11 ans. Réalisateur Défenseur des droitsProducteur Défenseur des droitsAnnée de copyright 2017Année de production 2017Année de diffusion 2017Publié le 13/11/20Modifié le 28/09/21Ce contenu est proposé par . 477 318 84 40 429 245 491 242

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