Eneffet, nous avons préparé les solutions de CodyCross Au rugby, c’est le joueur qui tire les pénalités. Ce jeu est développé par Fanatee Games, contient plein de niveaux. C’est la tant
JEUX OLYMPIQUES 2016 - Des tas de muscles qui se rentrent dedans façon auto-tamponneuses ou s'écroulent les uns sur les autres, des successions de mêlées interminables... Si vous suivez le rugby de loin, il y a fort à parier que vous ayez de telles images en tête à l'évocation de ce "sport de voyous joué par des gentlemen", pour reprendre la citation de Henry Blaha. Les rugbymen sont-ils des gentlemen? C'est une autre question, mais il est certain que par essence, le rugby est un sport de combat, fait de longues phases statiques mêlées, touches et regroupements rucks, mauls qui peuvent sembler incompréhensibles, voire stériles au profane. C'est vrai en tout cas pour le rugby à XV, sa version la plus connue dans nos contrées. Et si votre image du ballon ovale changeait grâce au rugby à 7? Extrêmement populaire aux Fidji ou en Nouvelle-Zélande mais peu médiatisée dans l'Hexagone, la discipline débarque aux JO de Rio pour la première fois à partir de ce samedi 6 août. Et la France sera représentée côté masculin comme féminin. Le HuffPost vous explique pourquoi ça risque de vous plaire même si vous n'aimez pas le rugby à XV. Discipline spectaculaire, le rugby à VII ou "Sevens" fait la part belle aux grandes chevauchées et aux gestes techniques d'exception, avec des rencontres qui sont toujours rythmées. C'est peut-être même "le sport collectif le plus éprouvant au monde", comme le résume L'Equipe, en premier lieu pour une raison assez simple le terrain est aussi grand qu'à quinze mais on y joue... à sept. Résultat, un seul joueur au centre, un seul ailier, pas d'arrière et surtout pas de deuxième ni de troisième ligne, ces joueurs puissants dont le rôle, au rugby à XV, est avant tout défensif. Plus généralement, les joueurs sélectionnés à sept ont aussi des gabarits moins massifs, plus affûtés et dynamiques que leurs homologues à quinze. Côté français, on pense par exemple à Manoël Dall'igna, qui est à la base un ailier à quinze mais se retrouve talonneur à sept. Forcément, cela a des conséquences sur le jeu pratiqué. En termes de distance moyenne parcourue par match, le Sevens fait mieux que le XV et même que le foot et se rapproche du football australien, note L'Equipe. Même chose pour le temps de jeu effectif, avec environ 60% de moyenne par match contre 50% en rugby à XV où l'on peut descendre à à peine 1/3 lors de chocs très fermés. Le Sevens est "plus libre et moins cloisonné que le XV. C'est un jeu fait d'initiatives et de libertés" résumait en 2006 Thierry Janeczek, alors entraîneur de l'équipe de France à 7. Moins défensif, plus ouvert et rapide, la discipline a tout pour régaler. Au-delà du nombre moins important de joueurs sur le terrain et de la répartition des postes, les règles du rugby à VII en font aussi un sport plus fluide - et plus simple. En premier lieu, les phases statiques comme les mêlées "prennent moins de temps, d'autant que l'esprit reconquête est moins présent, l'équipe qui n'a pas la balle est plus prête à défendre" souligne l'arbitre Alexandre Ruiz, interrogé par Rugbyrama. Autre règle qui accélère le jeu, celle des transformations, "réalisées en drop-goal [sans poser le ballon au sol mais en le laissant rebondir avant de taper, NDLR] après un essai". Le buteur a seulement "40 secondes pour tenter de passer son coup de pied", note encore le site spécialisé. Même chose pour les pénalités, tirées "sous la forme d’un coup de pied tombé ou de volée" dans les 30 secondes, explique la FFR. Les défenses étant moins compactes, les espaces plus importants et les règles faites pour accélérer le jeu, il n'est donc pas rare de voir de nombreux essais, certaines équipes dépassant parfois les 40 points. Cela arrive bien en rugby à XV, direz-vous, mais les matchs sont nettement plus courts au Sevens, en raison notamment de leur très haute intensité physique. Chaque match ne dure que 14 minutes, découpé en deux périodes de sept minutes, contre deux fois 40 minutes à XV. Par ailleurs, la mi-temps n'est que d'une minute. En cas de prolongations, ne comptez pas plus de deux fois 5 minutes, et encore, le premier à marquer l'emporte. L'avantage, c'est que - même si le match ne s'avérait pas fantastique - vous ne verrez même pas le temps passer. Vous avez gardé un mauvais souvenir de la dernière fois que vous avec vu l'équipe de France de rugby dans une grande compétition? Vous ne vous remettez pas du 62-13 infligé par les All Blacks lors de la dernière Coupe du monde? Peut-être que les Bleues du VII vont vous remonter le moral. Même s'ils ne sont pas favoris côté masculin comme féminin, une médaille n'est pas inatteignable, grâce notamment à quelque talents hors normes. Seulement onzièmes dans la hiérarchie mondiale du Sevens cette saison, les hommes pourront tout de même compter sur leur capitaine emblématique Terry Bouhraoua et leur ailier star Virimi Vakatawa, vu avec le XV de France lors du dernier Tournoi des 6 Nations et considéré comme l'un des meilleurs joueurs du monde dans sa discipline. Les Françaises font quant à elles partie des 5 ou 6 meilleures équipes mondiales. La capitaine Fanny Horta, l'infatigable plaqueuse Marjorie Mayans ou encore l'explosive Camille Grassineau incarnent le surnom de l'équipe, réputée pour son âpreté défensive et sa détermination "les Enragées". Au-delà de la France, ces JO seront aussi l'occasion de voir évoluer quelques vrais phénomènes. On peut citer les Fidjiens Jerry Tuwai, Samisoni Viriviri et Josua Tuisova, les stars du XV Sonny Bill Williams Nouvelle-Zélande et Juan Imhoff Argentine, l'Américain Carlin Isles connu pour courir le 100 m en 10s13 et son compatriote Nate Ebner vainqueur du Super Bowl 2015, ou encore le serial marqueur kényan Collins Injera.
Quandun point est marqué (ballon tombé par terre ou tir en dehors de la cage), c’est le joueur qui devait réceptionner le ballon qui engage le point suivant. La partie se termine quand une équipe est arrivée à 10 points. Règles du Tchouk sur une cage. L’équipe qui gagne la partie est la première équipe à arriver à 10 points.
Pro D2 A Leucate, les Noirs remportent ce soir le premier des deux matchs de préparation qu’ils ont à disputer face à Carcassonne. FICHE TECHNIQUE Carcassonne 8 – 13 Provence Rugby. Score à la mi-temps 0 – 6. Arbitre Hervé Lasausa Lespy Labaylette. Stade municipal de Leucate. Pour Carcassonne 1 essai Gianet 47′, 1 pénalité Mouchous 53′. Pour Provence Rugby 1 essai Lavernhe 67′, 1 transformation Selponi 67′, 2 pénalités McPhillips 2′, 16′. Composition des équipes Carcassonne Martinez, Petriashvili, Bekoshvili – Joussain, Harley – Annetta, Meka, Herjean cap. – Pagès m, Hilsenbeck o – Clavières, Plessis Couillaud, Boulkenafet, Jasmin, Darrélatour. Remplaçants Mavinga, Amrouni, Somkishvili, Carbou, Boyadjis, Kilickaya, Akhobadze, Manchia, Landman, Carroll, Onambélé, Vettore, Marquès, Mouchous, Lima, Marty, Gianet. Provence Rugby Wegrzyn, Kessler, Tagi – Gambini, Dufour – Laget, Mousties, Malet cap. – Cazenave m, McPhillips o – Sau, Sanday, Betham, Hemou – Bouhedjeur. Remplaçants Nostatdt, Toth, Loukia, Vernet, Martin, Jammes, Baud, Taieb, Axtens, Ruru, Selponi, Lavernhe, Marrou, Bly, Lapegue. Face au Carcassonne de Grégory Annetta, les Noirs remportent leur première sortie de préparation. Une victoire 8-13 construite toute au long du match. En première période, c’est Johhny McPhillips, l’ancien Carcassonnais, qui inscrit les deux pénalités qui permettent aux Noirs de mener 0-6 au repos. En seconde période, si Gianet concrétisait une belle passe au pied rasante de Mouchous 8-6, 53′, après une pénalité de ce même Mouchous, c’est bien les Noirs qui finissent plus fort. Dorian Lavernhe finit à dame, Selponi transforme est les Provençaux s’imposent finalement 8-13. S’il ne faudra évidemment tirer aucune conclusion définitive de cette rencontre, s’imposer face au barragiste de la saison dernière permet d’engranger un brin de confiance et de continuer de travailler dans la sérénité. Second acte, jeudi prochain, avec une revanche » face à Carcassonne qui nous rendra visite en Provence. Chez notre club partenaire du Pontet, au stade de Fargues. Ce sera alors la dernière occasion de se tester avant les trois coups du championnat, huit jours plus tard face à Agen à Maurice-David > Réserver ma place
Pénalité: Un joueur envoie le ballon entre les poteaux et au dessus de la transversale après que son équipe ait obtenu le droit de tirer une pénalité suite à une faute de l'adversaire. Le ballon et sa circulation : les joueurs d'une équipe font avancer le ballon vers la ligne de but de l'autre équipe afin de marquer des essais. Ils
Codycross est un jeu mobile dont l'objectif est de trouver tous les mots d'une grille. Pour cela, vous ne disposez que des définitions de chaque mot. Certaines lettres peuvent parfois être présentes pour le mot à deviner. Sur Astuces-Jeux, nous vous proposons de découvrir la solution complète de Codycross. Voici le mot à trouver pour la définition "Au rugby, c'est le joueur qui tire les pénalités" groupe 165 – grille n°4 botteur Une fois ce nouveau mot deviné, vous pouvez retrouver la solution des autres mots se trouvant dans la même grille en cliquant ici. Sinon, vous pouvez vous rendre sur la page sommaire de Codycross pour retrouver la solution complète du jeu. 👍
Leterrain, la surface totale qui comprend; le champ de jeu, l'aire de jeu, l'enceinte de jeu, l'en-but ainsi que les 22 mètres. Il arrive en provenance de Louhans-Cuiseaux, qui évolue en National
Comme aux LF pour le basket Et en cas de pénalty sans faute sur un joueur déterminé ex main dans la surface là d'accord on choisit librement le limiterait les phénomène de boost, les mesquineries "nan c'est moi qui tire" et compagnie, celui qui tire et qui donc marque aurait au moins le mérite en plus de marquer le pénalty évidemment, de l'avoir provoqué. Le 31 mars 2019 à 155532 BetterCaIlSaul a écrit Comme aux LF pour le basket Et en cas de pénalty sans faute sur un joueur déterminé ex main dans la surface là d'accord on choisit librement le limiterait les phénomène de boost, les mesquineries "nan c'est moi qui tire" et compagnie, celui qui tire et qui donc marque aurait au moins le mérite en plus de marquer le pénalty évidemment, de l'avoir provoqué. Comment ferait Ramos pour faire le kéké stat apres ? Bonne idée. Mais tu fais comment quand le blessé sort sur civière ? C'est la capitaine qui tire ? Si le joueur Fauté sort on choisi le joueur qui tire Au hockey aussi c'est le joueur qui se fait fauter qui fait le tir de pénalité Et si la personne qui a subit la faute ne sait pas tirer les pénos ?Alors qu'à côté t'as des spécialistes en la matière Donc on change une règle qui est là depuis toujours, pour "limiter le boost" franchement, qui en a quelque chose à foutre qu'un joueur améliore ses stats sur pénalty, ou les "mesquineries c'est moi qui tire" c'est le problème de l'entraîneur et de son équipe ça ?? Le 31 mars 2019 à 161247 BANpourlavie a écrit Et si la personne qui a subit la faute ne sait pas tirer les pénos ?Alors qu'à côté t'as des spécialistes en la matièreet ben tant pis pour lui Parce qu'après t'etre fait tacler t'es pas forcément en état physique ou psychologique pour tirer Parce qu'un pénalty c'est fait pour pénaliser l'équipe qui fait la faute, pas l'inverse. Le 31 mars 2019 à 161247 BANpourlavie a écrit Et si la personne qui a subit la faute ne sait pas tirer les pénos ?Alors qu'à côté t'as des spécialistes en la matièreArgument en carton ça, tout le monde peut s'entraîner aux pénaltys la vérité c'est que le pénalty vient compenser la perte d'une chance manifeste de marquer. C'est pas un problème que ce soit un joueur autre que celui qui subisse la faute ou qui voit son tir contré par une main qui tire. Message édité le 31 mars 2019 à 161730 par Eldone OK, mais dans ce cas-là il faudrait aussi appliquer cette règle aux coup-francs directs, puisqu'un CF à 25-30 mètres pas trop excentré c'est aussi une occasion de but, non ? Le 31 mars 2019 à 161557 Eldone a écrit Le 31 mars 2019 à 161247 BANpourlavie a écrit Et si la personne qui a subit la faute ne sait pas tirer les pénos ?Alors qu'à côté t'as des spécialistes en la matièreArgument en carton ça, tout le monde peut s'entraîner aux pénaltys la vérité c'est que le pénalty vient compenser la perte d'une chance manifeste de du coup, admettons que le gardien était déja battu, il faudrait laisser le joueur tirer le pénalty depuis l'endroit ou il est tombé, et seul face au but sans gardien Pareil sur les coups-franc alors ? Le 31 mars 2019 à 161801 Real_1-4_AJAX a écrit Le 31 mars 2019 à 161557 Eldone a écrit Le 31 mars 2019 à 161247 BANpourlavie a écrit Et si la personne qui a subit la faute ne sait pas tirer les pénos ?Alors qu'à côté t'as des spécialistes en la matièreArgument en carton ça, tout le monde peut s'entraîner aux pénaltys la vérité c'est que le pénalty vient compenser la perte d'une chance manifeste de du coup, admettons que le gardien était déja battu, il faudrait laisser le joueur tirer le pénalty depuis l'endroit ou il est tombé, et seul face au but sans gardien Ce que tu racontes n'a aucun sens. je suis d'accord les stats seraient un peu moins faussées, quand tu vois que certains joueurs sont encensés pour leurs buts marqués alors que presque 25 % viennent directement de pénalty provoqués par leur coéquipier Mauvaise idée, les fautes qui mènent à un pénalty sont souvent bien plus violentes que les fautes qui mènent à un LF au basket.+ si c'est ton jeune milieu de 18 ans qui n'a jamais tiré un péno qui subit la faute, c'est pas une super idée Un pénalty = / = un lancer-franc, un pénalty c'est un 1v1 avec le goal qui essaie de destabiliser le tireur, un LF c'est juste toi contre le panier. Le 31 mars 2019 à 162905 Stalov a écrit je suis d'accord les stats seraient un peu moins faussées, quand tu vois que certains joueurs sont encensés pour leurs buts marqués alors que presque 25 % viennent directement de pénalty provoqués par leur coéquipierMais c'est un FAUX PROBLEME ça, on s'en FOUT mais royalement qu'un joueur ait des stats plus ou moins avantageuses, ça justifie pas un changement de la règle, vous en avez conscience ? Le principal, c'est que le pénalty soit tiré pour que l'équipe fautive soit éventuellement pénalisée, et que l'équipe qui a vu son occasion anéantie ait une chance de prendre son but. Ca va pas plus loin. Message édité le 31 mars 2019 à 163409 par Eldone Le 31 mars 2019 à 161247 BANpourlavie a écrit Et si la personne qui a subit la faute ne sait pas tirer les pénos ?Alors qu'à côté t'as des spécialistes en la matièreBah justement, ça oblige un peu tous les joueurs à savoir tirer et à l'inverse côté défense ça peut permettre de développer une nouvelle stratégie en jugeant opportun de faire faute sur un joueur en sachant qu'il est pas à l'aise aux penaltys, avec risque de le regretter. Le 31 mars 2019 à 161301 Eldone a écrit Donc on change une règle qui est là depuis toujours, pour "limiter le boost" franchement, qui en a quelque chose à foutre qu'un joueur améliore ses stats sur pénalty, ou les "mesquineries c'est moi qui tire" c'est le problème de l'entraîneur et de son équipe ça ??Ca fait quoi de changer une règle qui est là depuis toujours ? Toute règle ancienne est forcément bonne ? Victime de harcèlement en ligne comment réagir ?
Cest dans le stade de nos adversaires que s’est déroulé le 24 octobre 2021 le match de rugby qui nous a opposés au RC Mans. Il a été arbitré par Herve Cherrier et Antoine Chatain. Malgré des températures de plus en plus basses, nos joueurs en pleine forme ont porté dignement les couleurs de notre club en impressionnant par leur
Alors que les finales 2022 de l’EPCR, organisées au Stade Vélodrome, se rapprochent à grands pas, nous vous proposons de revenir sur certaines des plus grandes rencontres européennes disputées à Marseille. Aujourd’hui, le RC Toulon est à l’honneur pour sa demi-finale victorieuse, en 2014, contre le Munster Rugby. RC Toulon 24 Munster Rugby 16 Le seul essai du match a été signé en deuxième période par le trois-quarts aile du Munster Simon Zebo, mais Toulon n’a jamais été détaché dans un match qui a vu Jonny Wilkinson inscrire 21 points et Delon Armitage réussir une pénalité de 55 mètres. C’est la botte de Wilkinson qui a permis au RCT de prendre les devants après cinq minutes. Le numéro 10 a échangé des pénalités avec son homologue Ian Keatley. Les Français conservaient la tête en première mi-temps pour atteindre la pause avec une avance de 18-9. Le Munster s’est mis à la faute pour donner six points à son adversaire dans ses propres 22 dès la reprise et n’a pas tiré le meilleur parti du carton jaune de Juan Fernandez Lobbe pour un coup de pied sur Conor Murray. La pénalité d’Armitage à 55 mètres fut le dernier acte de la première mi-temps, offrant au RCT une avance de neuf points. Mais le Munster a riposté en deuxième période. 🚨 Annonce! Voici les dates des matchs allers des 8es de finale. Tout ce qu’il faut savoir sur le calendrier des phases finales ➡️ — Champions Cup France ChampionsCup_FR February 8, 2022 Simon Zebo a poussé Steffon Armitage à la faute avant de percer la défense toulonnaise pour un essai transformé par Keatley le long de la ligne de touche permettant de réduire l’écart à deux points 18-16 à 27 minutes du coup de sifflet final. Le Munster allait alors se libérer et accentuer sa pression sur la défense du RCT. Mais les Irlandais ont concédé une autre pénalité lorsque Keith Earls a été sanctionné pour une faute sans ballon sur David Smith permettant à Wilkinson de trouver les poteaux. Le demi d’ouverture de Toulon pensait être sur le point de réussir un drop mais James Coughlan a parfaitement défendu pour sauver son équipe. Le Munster a mis tout en oeuvre pour inscrire un nouvel essai en multipliant les offensives mais la défense de Toulon n’a jamais rompu. Wilkinson a eu le dernier mot avec une pénalité à la 79ème minute, pour un total de 100 points à ce moment de la saison, et hisser le RCT en finale de la Coupe d’Europe ! Toulon a battu les Saracens, 23 à 6, au Principality Stadium, remportant ainsi la deuxième de ses trois couronnes européennes consécutives. La finale de l’EPCR Challenge Cup aura lieu le vendredi 27 mai avant le grand rendez-vous de la Champions Cup, le samedi 28 mai. Achetez vos billets pour les matchs au Stade Vélodrome ICI !
0 Alors que les Bleus ont une nouvelle fois manqué leur entame de match ce mercredi face à la République tchèque, Vincent Collet a admis que son cinq de départ pose problème. Le capitaine
Zane Gardiner, l'entraîneur des Pays-Bas, a fait d’une pierre deux coups en permettant à son équipe de revenir dans le Rugby Europe Championship pour la première fois en 19 ans. David Weersma a passé 18 points, dont la pénalité décisive en fin de rencontre, dans la victoire des Pays-Bas 23-21 dans leur barrage de promotion contre la Belgique à Waterloo samedi 29 mai 2021. Le dernier coup de pied de David Weersma a valu aux Néerlandais leur place dans le championnat cette saison pour la première fois depuis 2002, et les propulse dans la course à la qualification pour la Coupe du Monde de Rugby 2023. Cependant, avant de préparer les matchs contre la Géorgie, la Roumanie, la Russie, l'Espagne et le Portugal – premier acte en juin contre les Lelos à Telavi - Zane Gardiner a expliqué à son équipe que la priorité serait déjà le maintien à l’issue de la saison. Voyons juste où nous en sommes et utilisons ces matchs pour nous construire. Et puis la saison prochaine, on aura la chance de battre encore plus d’équipes », explique Zane Gardiner à World Rugby. Je souhaite avant tout que l’on acquiert de l’expérience, qu’on soit capable de rivaliser et de performer au mieux de nos capacités. Tirons nos leçons de tout ça et construisons simplement une base solide. Nous n’allons pas nous focaliser tout de suite sur la Coupe du Monde, mais d’abord sur le championnat. Si nous pouvons gagner quelques rencontres, être compétitifs sur les autres, alors je pense qu’on aura réussi. Je pense que c’est jouable. Je pense que notre objectif raisonnable serait de gagner deux matchs, même si les joueurs vont m’assurer qu’ils sont capables d’en gagner plus, et ce serait très bien ; je n'ai aucun problème avec ça. Mais selon moi, nous devons avancer prudemment. Et c’est exactement ce qui s’est passé samedi. Nous n'avons pas joué une équipe de championnat, nous n’avons joué que des équipes de Trophy, ce qui fait que nous n’avions pas de pression particulière. Pour des amateurs, le défi physique a été énorme et ça a renforcé d’autant plus le courage de ces gars qui n’ont pas reculé face à la difficulté. » Un plan de jeu parfaitement exécuté Les Néerlandais ont dominé la rencontre qui a été retransmise en direct sur le grand réseau de sports câblés néerlandais, Ziggo, menant 13-0 peu après la pause à Waterloo, avec une deuxième pénalité de David Weersma ajoutée à l'essai qu'il avait marqué et transformé en début de match. La Belgique a riposté pour conserver sa place dans le Rugby Europe Championship. A cinq minutes de la fin, les Diables Noirs menaient d’ailleurs 21-20 grâce à un essai de Thomas De Molder transformé par Alan Williams. J’étais confiant car ils ne menaient que d’un point », confie Gardiner. On n’était qu’à une pénalité de la victoire et je savais que David Weersma était un bon buteur et qu’il savait parfaitement gérer la pression. Nous avions anticipé ce genre de scénarios où nous étions en retard au score et qu’on devait chercher la pénalité pour pouvoir gagner. Et c’est précisément ce qui s’est passé pousser l’autre à la faute, gérer la pression et prendre les points. Les gars étaient mentalement préparés à vivre une telle fin de match et ils ont parfaitement exécuté le plan de jeu. » PROFITER DU MOMENT David Weersma a fait preuve d’un sang-froid exemplaire pour passer la pénalité à la 76e minute. Peu habitués à l’exubérance, les Néerlandais ont contenu leur joie à l’hôtel comme dans le bus du retour à Amsterdam. Cela faisait dix mois qu’ils attendaient cette rencontre, à la suite de son report pour cause de Covid-19. Les garçons ont relâché la pression et ont quand même profité du moment », rassure Gardiner. On a beaucoup parlé entre nous, on s’est rappelé tout ce qu’on avait vécu pour en arriver là , tout ce qu’on avait dû endurer et tous les sacrifices qu’ils ont consentis. La majorité des joueurs joue en amateur, si bien que performer comme ils l’ont fait est encore plus remarquable ! » Zane Gardiner ne cache pas que sa première-ligne est déjà très excitée à l’idée de se mesurer au pack géorgien en juin. S’il n’a dû retenir que 23 joueurs pour passer à l’étape supérieure, le sélectionneur des Pays-Bas dédie aussi la victoire à son staff et aux autres joueurs qui ont tous donné de leur temps au cours des six derniers mois pour être prêts le jour J en arrivant à Waterloo. On s’était dit, peu importe comment se déroulera la rencontre, nous allons nous entraîner pour ça, on va construire dessus et ça nous rendra plus fort dans les années à venir », dit-il. Ils ont vu que ça a commencé à porter ses fruits en avril, que tout a commencé à se mettre en place, puis ils ont commencé à vraiment intégrer les schémas de jeu, à se concentrer du mieux possible et toute cette préparation, à la fin, a fait la différence. Disposer d’un groupe élargi était nécessaire pour préparer ces gars et pour l'avenir également, pour aller de l'avant. On a aussi compris qu’on devait compter sur un groupe de 50 joueurs pour pouvoir faire tourner les effectifs. » LIRE AUSSI >>> CES INTERNATIONALES ESPAGNOLES DEVENUES ENTRAINEURES
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