Résumé Hercule Poirot et le capitaine Hastings reçoivent la lettre d'un inconnu qui signe A.B.C. qui les prévient que quelque chose se passera le 21 juin à Andover. Le petit détective belge ne sait pas s'il doit ou non tenir compte de ces menaces.Chapitre I La Vesphalie, le paradis Tout semble aller pour le mieux dans le meilleur des mondes pour le jeune Candide, docile et ingénu. Le baron de Thunder-ten-tronckh, l’ un des plus puissants seigneurs de la Vestphalie », et probablement son oncle, l’a accueilli dans un château protégé et clos, qui fait rempart à toute violence extérieure. Candide est secrètement amoureux de Cunégonde, la fille du baron et de la baronne. La félicité est absolue, jusqu’au drame Candide et Cunégonde sont surpris par le baron dans leurs ébats, Candide est chassé du paradis, et l’aventure commence. Candide n’aura de cesse de retrouver Cunégonde, objet d’une quête qui le révélera peu à peu à lui-même. À travers les yeux de Candide, le château protecteur renvoie à un âge d’or où l’abondance et l’équilibre apparents dispensent d’une réflexion plus aboutie que la philosophie de Pangloss, précepteur de la maison. Ce paradis se révèle cependant artificiel l’exclusion du héros ouvre la boîte de Pandore, et l’idéologie qui animait cet univers ne résiste pas longtemps aux tempêtes. Voltaire inscrit d’emblée le conte dans une référence commune qu’il va s’appliquer à déconstruire à travers un voyage où le héros se trouve successivement confronté à tous les malheurs du monde, puis aux turpitudes de l’âme humaine. Chapitre II Seul et désemparé, Candide rencontre dans la ville voisine de Valdberghoff-trarbk-dikdorff, à la porte d’un cabaret, deux recruteurs de l’armée du roi des Bulgares qui l’enrôlent aussitôt, au seul motif que Candide mesure cinq pieds cinq pouces de haut ». Après des débuts difficiles, Candide, peu au fait des usages militaires, déserte avant d’être rattrapé et conduit au cachot. Un choix lui est offert être fustigé trente-six fois par tout le régiment, ou recevoir à la fois douze balles de plomb dans la cervelle ». Candide choisit le fouet, puis les balles, avant d’être sauvé par le roi des Bulgares, sensible à ce jeune métaphysicien fort ignorant des choses de ce monde ». Chapitre III En Hollande, la guerre Candide, séduit dans un premier temps par le spectacle de la bataille, se met à trembler devant ce qui, à ses yeux, devient vite une boucherie héroïque » qui conduit le héros à se cacher avant de s’enfuir en enjambant les cadavres. Il arrive en Hollande, tente de mendier pour manger, et rencontre, après quelques échanges malheureux sur la religion, l’anabaptiste Jacques qui le nourrit et lui propose un travail dans une manufacture d’étoffes. Il va croiser un gueux tout couvert de pustules »… C’est avec une ironie grinçante que Voltaire propose une représentation de la guerre qui dénonce la brutalité et l’inconséquence militaires, tout autant que le désastre d’un système de pensée en total décalage avec le monde qu'il tente d'expliquer. Le sujet est d’actualité, alors même que la guerre de Sept Ans 1756-1763 fait rage en Europe et dans les colonies d’Amérique du Nord les dommages humains considérables conduiront à une réorganisation des forces en présence. Chapitre IV Le gueux tout couvert de pustules » se révèle être Pangloss, à bout de forces, malade de la vérole et dans l’incapacité de se soigner. Il informe Candide de la destruction du château après son départ, de la mort du baron, de la baronne, de leur fils, et, surtout, de Cunégonde. Le paradis n’est plus. Candide s’interroge Ah ! Meilleur des mondes, où êtes-vous ? », tout en restant fidèle aux certitudes de Pangloss qui s’évertue à justifier jusqu’à la vérole qui le tue. Jacques, le bon anabaptiste, parvient à guérir Pangloss et le prend avec Candide à son service. Ils embarquent ensemble pour Lisbonne et affrontent une terrible tempête à l’approche du port. L’optimisme du philosophe est confronté à l’épreuve des faits. Les personnages s’obstinent cependant, ce n’est que le début du voyage… Chapitre V Lisbonne, au nom de Dieu Les catastrophes s’enchaînent la tempête anéantit le vaisseau et ses passagers ; l’anabaptiste Jacques périt d’avoir aidé un matelot qui le laisse se noyer. Seuls Pangloss et Candide survivent, pour être aussitôt exposés au tremblement de terre qui détruit Lisbonne et écrase ses trente mille habitants. Quelle peut être la raison suffisante de ce phénomène ? » s’interroge Pangloss. Voltaire met en scène le tremblement de terre de Lisbonne survenu le 1er novembre 1755 l’événement bouleverse profondément les mentalités. Capitale d’un pays réputé pour sa foi catholique, Lisbonne ne semblait pas mériter ce châtiment. Pourquoi une pareille catastrophe le jour d’une fête catholique ? La philosophie du XVIIIe siècle ne s'explique pas une telle manifestation de colère divine. L’Inquisition s’acharne, en vain, à chercher des coupables. Chapitre VI Afin d’empêcher les tremblements de terre, des hommes sont brûlés pour des raisons absurdes ; Pangloss et Candide sont proches de subir un sort identique Pangloss est pendu, et Candide, fouetté. Cette cérémonie n’empêche en rien un nouveau séisme, le soir même. Une parodie de raisonnement tente d’enchaîner les liens de cause à effet. Mais Candide s’interroge dans un grand désarroi, il voit s’ébranler ses certitudes… Chapitre VII En mer, l’art du récit Candide est sauvé par une vieille femme, personnage symbolique qui revient plusieurs fois au cours du voyage. Comme l’anabaptiste, la vieille lui permet de se soigner, de se nourrir et de s’habiller. Elle le conduit vers une jeune fille, que Candide dévoile Quel moment ! Quelle surprise ! Il croit voir mademoiselle Cunégonde, il la voyait en effet, c’était elle-même ». Coup de théâtre ! Ce ne sera pas le dernier puisqu’à la logique de causalité de Pangloss, la narration oppose la surprise et le retour de personnages qui semblaient, a priori, écartés du périple. Le désastre du château est raconté une seconde fois par Cunégonde ; récit enchâssé qui laisse entrevoir une autre histoire, parallèle à celle suivie par le lecteur depuis le chapitre II. Le conte s’inscrit dans une tradition qui emprunte à la fois au roman d’apprentissage, au récit initiatique, sentimental, comique… Voltaire s’inspire de ces traditions, pour les détourner doublement non seulement il les parodie mais il les récupère pour élaborer une pensée philosophique. L’auteur joue aussi en virtuose des procédés narratifs par le biais des ellipses, des récits enchâssés, des changements de perspective qui confèrent à la narration une densité de contenu et une liberté de ton. Chapitre VIII Cunégonde se lance dans un récit aux nombreuses péripéties suite à l’attaque du château, elle tombe sous le joug d’un capitaine bulgare qui la revend à un trafiquant, Don Issachar. Celui-ci la partage depuis six mois avec le grand inquisiteur. Ces malheurs en série la conduisent à remettre en cause la philosophie de Pangloss. Chapitre IX Don Issachar n’apprécie guère la présence de Candide et la perspective d’un second rival il le menace d’un poignard ; Candide brandit une épée et abat son adversaire. L’inquisiteur surgit ; Candide commence à raisonner, l’épée à la main et tue l’inquisiteur. Pour une nature si peu belliqueuse, c’est là un changement radical. Candide s’explique Ma belle demoiselle, […] quand on est amoureux, jaloux et fouetté par l’Inquisition, on ne se connaît plus ». La vieille les exhorte à l’action et ils s’éloignent sur des chevaux andalous avant l’arrivée de la Sainte-Hermandad, la police régionale. Ils gagnent alors la ville d’Avacena dans les montagnes de la Sierra Morena. Chapitre X Les dernières richesses de Cunégonde ont été volées ; le trio est dans l’embarras Quel parti prendre ? », s’interroge Candide. Ils vendent l’un des trois chevaux et arrivent à Cadix. Une flotte s’apprête à partir pour le Paraguay afin de combattre des révérends pères jésuites Candide convainc le général de ses compétences militaires et devient capitaine d’un équipage. Cunégonde, la vieille, et deux valets embarquent, avec deux chevaux, pour le Nouveau Monde, avec l’espoir que celui-là sera meilleur. L’espace est clos ; le temps est alors au récit la vieille raconte son histoire. Chapitre XI En mer, le malheur des femmes Fille du pape Urbain X et de la princesse de Palestrine, la vieille déroule son histoire sur le mode superlatif palais, robes, talents, grâces… tout surpasse en beauté l’univers de référence de Candide et Cunégonde, le château de Thunder-ten-tronckh. L’avenir s’annonçait radieux, porté par un mariage prévu avec le prince souverain de Massa Carrara. À cette perspective idyllique répond une chute brutale le fiancé meurt, un corsaire attaque, et elle est capturée avec sa mère. L’arrivée au Maroc assombrit davantage encore le tableau les combattants s’opposent et se disputent le butin, entraînant la mort de la princesse et de tous les prisonniers, à l’exception de la vieille, laissée pour morte. Non seulement la fidélité aux prières ne prémunit pas contre les pires horreurs, mais le récit souligne encore l’injustice et le malheur que subissent les femmes. Asservies aux hommes, éloignées des fonctions sociales, volontiers tenues responsables des misères humaines, elles peinent à exister. Quelques années avant la Révolution française, Voltaire s’interroge sur la place des femmes dans la société. Chapitre XII La vieille poursuit un récit qui propose une vision extrêmement sombre de la nature humaine. Elle survit à la peste et, vendue comme esclave, passe, au fil des transactions, de Tunis à Tripoli, d’Alexandrie à Smyrne, de Constantinople à Moscou. Elle y perd une fesse en pleine famine, sacrifiée pour satisfaire les soldats turcs. Devenue la servante de Don Issachar, elle rencontre alors Cunégonde. Trahison, anthropophagie, suicide sont abordés dans ce périple vers le Nouveau Monde autant de questions débattues au XVIIIe siècle. L’ironie de la narration favorise la construction d’une distance critique. Chapitre XIII L’histoire de la vieille fait école, et le vaisseau avance au fil du récit des voyageurs. Ils arrivent finalement à Buenos Aires, et y rencontrent le gouverneur qui s’empresse de demander Cunégonde en mariage. La vieille encourage cette dernière à accepter d’épouser monsieur le gouverneur et de faire la fortune de monsieur le capitaine Candide ». Mais le passé les rattrape, et ils risquent la mort pour avoir tué le grand inquisiteur. Candide fuit, Cunégonde reste ; leur chemin se sépare pour la deuxième fois. Chapitre XIV Candide est accompagné dans sa fuite par un valet nommé Cacambo. Il avait été enfant de chœur, sacristain, matelot, moine, facteur, soldat, laquais » voilà un compagnon de choix pour un Candide en pleine évolution. Homme d’action plein d’allant, il encourage son maître quand on n’a pas son compte dans un monde, on le trouve dans un autre ». Au Paraguay, chez les jésuites, Candide reconnaît dans le commandant le frère de Cunégonde, le fils du baron, miraculeusement rescapé du massacre du château. Chapitre XV Le fils du baron raconte – C’est la troisième fois pour le lecteur – l’invasion du château par l’armée bulgare et comment, tenu pour mort, il fut sauvé par un jésuite. Les retrouvailles se déroulent sous les meilleurs auspices, le baron qualifiant Candide de frère » et de sauveur ». Les relations se dégradent cependant lorsque Candide fait part de son souhait d’épouser Cunégonde fidèle aux valeurs familiales, le baron refuse catégoriquement, car Candide n’a pas les quartiers de noblesse requis. Candide tente d’argumenter et de défendre l’attachement de Cunégonde à son égard, mais, devant l’obstination du baron, il n’a d’autre choix que de le tuer. Habillés en jésuites, Candide et Cacambo parviennent à s’enfuir. Chapitre XVI Au Pays des Oreillons, Images de l’autre Tout inquiète en terre inconnue, tout particulièrement l'autre », menaçant par son étrangeté, soupçonné de mœurs barbares. Candide abat deux singes à la poursuite de deux femmes nues… Il s'agit semble-t-il de leurs amants ! Candide et Cacambo sont ligotés pendant leur sommeil et vont être mangés par les habitants des lieux, les Oreillons, qui les prennent pour des Jésuites. L'agressivité contre les Jésuites qui les ont dépossédés de leur territoire tombera dès qu'il sera clair que Candide n'est pas jésuite ils seront dès lors traités avec tous les égards. Là où jusqu'alors les Européens voyaient des "sauvages", le siècle des Lumières veut voir des êtres humains, égaux en droit quelle que soit leur race. Aussi n'est-ce pas sans ironie que Voltaire décrit ici les mœurs les plus extrêmes fantasmées par les Européens, de l'anthropophagie à la zoophilie. Chapitre XVII L’Eldorado est découvert par Candide et Cacambo au hasard de ce périple en Amérique du Sud. Les expériences douloureuses du Nouveau Monde ont convaincu Cacambo de retourner en Europe, mais les deux protagonistes n’ont d’autres choix que de poursuivre leur route, et s’embarquent à l’aventure dans une petite barque en se recommandant à la Providence. Le canot finit par se fracasser contre des écueils qui ouvrent la porte de l’Eldorado C’est probablement le pays où tout va bien ; car il faut absolument qu’il y en ait un de cette espèce », espère Candide. Chapitre XVIII L'Eldorado, utopie et société idéale Pas de cour de justice, de parlement, ni de prison dans ce pays, mais un palais des sciences, des libertés individuelles reconnues, avec interdiction, pour les habitants, de sortir de ce royaume. Candide et Cacambo décident pourtant d’en partir, parce que Cunégonde manque à l’un d’eux, et que la richesse leur ouvre des perspectives.. Une machine est spécialement construite pour les conduire de l’autre côté des montagnes, accompagnés de cent moutons chargés de vivres, de présents, d’or et de pierreries. L’Eldorado tient une place essentielle dans le conte, puisqu’il en marque le milieu, à la fois point d’aboutissement d’un parcours et point de départ du voyage de retour Candide découvre un autre modèle de gouvernement et de bonheur qui se substitue au château initial. Cependant, le lieu, aussi doré soit-il, ne comble pas toutes les attentes. Entre utopie et construction politique, il reste du chemin à parcourir pour créer son propre jardin la société idéale est un sujet d’interrogation majeur du XVIIIe siècle. Chapitre XIX Le Surinam, l’esclavage Candide et Cacambo quittent l’Eldorado chargés d’or et de rêves. Mais ils perdent vite leurs richesses et doivent renoncer à s’acheter un royaume. Aux abords du Surinam, la rencontre avec un esclave noir dans un état pitoyable achève de leur enlever leurs illusions. On l’a amputé de la main droite et de la jambe gauche c’est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe ». Ce violent réquisitoire contre l’esclavage s’inscrit dans un vaste mouvement d’opinion qui dénonce cette pratique. Il faudra, en France, attendre 1848 pour que l’esclavage soit définitivement aboli. Chapitre XX Buenos-Aires, Mal physique, mal moral Candide a chargé Cacambo de passer à Buenos Aires pour racheter Cunégonde et la vieille, tandis qu'il se rend directement à Venise. Désespéré par le vol de ses dernières richesses, il décide d’emmener avec lui l’homme le plus malheureux de la province. Il choisit, parmi une foule de prétendants, le philosophe Martin. Tandis que le vaisseau vogue vers Bordeaux, les deux compagnons de voyage discutent quinze jours durant, du mal physique et du mal moral. Le combat naval qui s’achève par le naufrage du bateau pirate qui a volé tous les biens de Candide alimente leurs débats s’il punit l’immoralité du capitaine, il engloutit dans le même temps des centaines d’innocents. Ironie du sort seul un mouton en réchappe ! Le mal est partout cruauté des hommes, injustice de la religion, désastre naturel, incohérence politique. La question du mal, en étroite relation avec la question de Dieu, alimente toute la réflexion philosophique du XVIIIe siècle. Chapitre XXI Aux abords des côtes françaises, Candide expose son projet rejoindre Venise depuis Bordeaux. Nulle curiosité de sa part après un mois passé dans l’Eldorado, d’autant que les commentaires de Martin sur les Français sont sans appel. Candide veut atteindre l’Italie pour y attendre Cunégonde ; Martin accepte de le suivre pour son argent. La fin du voyage est l’occasion de questions de Candide à Martin sur la pérennité du mal et sur la possibilité du bien. Son raisonnement s’affine il est question en dernier lieu du libre arbitre. Chapitre XXII Paris, jeux de société Candide et Martin se rendent finalement à Paris. Voltaire met en scène une satire de la vie parisienne en évoquant successivement l’absence de reconnaissance sociale dont souffrent les actrices, la cruauté des critiques, les jeux d’argent et la perfidie des conversations mondaines d’abord du silence, ensuite un bruit de paroles qu’on ne distingue point, puis des plaisanteries dont la plupart sont insipides, de fausses nouvelles, de mauvais raisonnements, un peu de politique et beaucoup de médisance ». Tout au long du chapitre, Candide est trompé ; il part finalement pour Dieppe puis Portsmouth sans renoncer à rejoindre un jour Venise. Le Paris présenté est futile et superficiel, mondain et trompeur. Le jeu y occupe une place de choix, en relation avec une société des Lumières où les jeux d’argent, licites ou illicites, ont envahi l’espace urbain et gagné toutes les couches de la société. Les formes en sont variées cabarets et billards, académies tolérées et tripots clandestins, bureaux de loterie… Rien à voir avec le Paris populaire que mettra en scène la littérature du XIXe siècle. Chapitre XXIII Sur fond d’explication de la guerre qui oppose à grands frais les armées anglaise et française pour une terre canadienne fort éloignée, l’arrivée à Portsmouth coïncide avec l’exécution d’un amiral qui bouleverse Candide l’homme périt de n’avoir pas provoqué assez de morts en affrontant l’ennemi. Candide refuse de descendre du navire et arrange au plus vite un départ pour Venise, toujours conduit par le désir de retrouver Cunégonde. Chapitre XXIV Cacambo et Cunégonde ne sont pas au rendez-vous vénitien, et Candide sombre dans la mélancolie, prêt à succomber au pessimisme de Martin Que vous avez raison, mon cher Martin ! Tout n’est qu’illusion et calamité. » Les idées sombres ne résistent pas, cependant, à la vision plaisante d’un moine théatin, frère Giroflée, avec une fille à son bras. Celle-ci se révèle être Paquette, la servante du château de Thunder-ten-tronckh. Derrière l’image du couple amoureux, se cache la sordide histoire d’un moine défroqué et d’une misérable prostituée, ravagée par la maladie. Candide s’obstine toutefois à croire à l’amour et continue à attendre un improbable retour de Cunégonde. Chapitre XXV Venise, masques et carnaval l'inversion des valeurs Le seigneur vénitien, Pococurante, un homme qui n’a jamais eu de chagrin », retient l’attention de Candide et de Martin. Il passe en revue la peinture, la musique, l’opéra, la littérature, la poésie, les sciences, le théâtre, la philosophie, les jardins… L’homme est revenu de tout l’opéra ? Des chansons ridicules ! Un concerto ? Du bruit qui fatigue tout le monde ! Homère ? Rien que des batailles ! Candide s’interroge peut-il y avoir du plaisir à n’avoir pas de plaisir ? Ville de carnaval, Venise est la ville de l’inversion des valeurs. Voltaire en fait un décor de choix pour un personnage blasé, un anti-Casanova dans une ville multiforme, singulière et inattendue. Chapitre XXVI Venise, pouvoir et rois déchus Cacambo surgit brusquement au cours d’un dîner et révèle que Cunégonde se trouve à Constantinople lui-même est esclave et exhorte Candide à se tenir prêt au départ. Ce rebondissement n’est pas la seule surprise d’un épisode mystérieux, au cœur du carnaval de Venise qui inverse les rôles entre maîtres et valets. Les six compagnons de Candide et de Martin lors de ce dîner se révèlent être des rois déchus qui narrent tour à tour leur parcours malheureux le sultan Achmet III, Ivan, empereur de toutes les Russies, le roi d’Angleterre, Charles-Edouard, deux rois des Polaques et, enfin, Théodore, roi de Corse. Tous sont venus à Venise pour le Carnaval, et tous sont déchus de leur pouvoir. Voltaire convoque ici des figures historiques qui incarnent la vanité et le caractère éphémère du pouvoir l’épisode participe de la réflexion politique du philosophe sur la notion de gouvernement qui constitue l’un des fils conducteurs de Candide, bien sûr, mais aussi du Dictionnaire philosophique. Du système hiérarchique aristocratique qui règne au château dont Candide est exclu, à l’organisation communautaire du jardin dont le baron est chassé, c’est une réflexion sur la place de l’individu dans le système qui le gouverne et l’émergence de l’homme social qui se déploie. Chapitre XXVII En route vers Constantinople, Cacambo décrit la situation de Cunégonde esclave dans la maison d’un ancien souverain sur le rivage de la Propontide, chez un prince qui a très peu d’écuelles », elle est devenue horriblement laide ». Candide se soucie peu de cette évolution, mais s’interroge sur l’usage de la fortune, dilapidée selon un schéma désormais classique dans le conte rachat de la personne humaine, piraterie, errance, esclavage. Cacambo est racheté par Candide, et le petit groupe retrouve au hasard de la traversée le frère de Cunégonde et Pangloss, devenus tous deux galériens. Les derniers diamants de l’Eldorado libèrent les deux malheureux, et tous repartent vers la Turquie pour délivrer Cunégonde. Chapitre XXVIII Le baron et Pangloss racontent leur histoire l’un, réchappé du coup d’épée de Candide, devenu aumônier avant d’être condamné aux galères ; l’autre, pendu, disséqué, un temps laquais, avant d’être à son tour condamné aux galères. Devant ces injustices nées de l’intolérance et de la superstition, Candide, à présent capable de discernement, interroge Pangloss avez-vous toujours pensé que tout allait le mieux du monde ? ». Pangloss est formel son jugement n’a pas évolué. Chapitre XXIX Narration des aventures, raisonnement sur les effets et les causes, interrogation sur le mal moral et sur le mal physique, sur la liberté et la nécessité, portent les protagonistes jusqu’à la maison du prince de Transylvanie, où ils retrouvent, enfin, Cunégonde et la vieille. Cacambo avait dit juste Cunégonde est bien laide et Candide s’en émeut avec élégance. Le fils du baron n’a pas changé il refuse toujours radicalement une possible union entre Cunégonde et Candide, malgré les larmes de sa sœur, et la colère de Candide devant tant d’absurdité et d’ingratitude. L’apparence de Cunégonde détourne désormais quiconque de tout désir d’union. Chapitre XXX En Orient, le jardin Attaché à une domination aristocratique qui n’a plus cours, le baron s’avère incapable d’évoluer et s’exclut de la nouvelle communauté. Celle-ci, privée des richesses de l’Eldorado, doit trouver en elle-même les ressources pour développer, non sans mal, la modeste métairie dans laquelle elle s’est installée. Cacambo en a assez de cultiver les légumes ; le caractère de Cunégonde se dégrade ; Pangloss souffre de ne pouvoir briller. Seul, Martin, avec son fatalisme habituel, s’accommode de la situation. Tous philosophent cependant, alors que Paquette et le frère Giroflée les rejoignent. La devise d’un bon vieillard turc donne sens à ce jardin comme promesse de vie le travail éloigne de nous trois grands maux l’ennui, le vice et le besoin. ». Candide la fait sienne et tous l’acceptent chacun se mit à exercer ses talents » et la petite société prend sens. Ce jardin métaphorique constitue le point d’aboutissement d’un périple qui, à partir d’un lieu clos et hiérarchisé, a conduit à parcourir un monde extérieur, hanté par le mal et la violence, et un monde intérieur plus trouble encore, permettant à Candide de se révéler. L’Eldorado est déterminant puisqu’il propose l’espoir d’un autre système social, appuyé sur le consentement collectif. Le jardin, par la place laissée à chacun et la reconnaissance de son travail, ouvre l’espace d’une liberté et d’un bonheur, certes plus modestes mais assurément plus fiables. Il faut cultiver notre jardin ! Fnac: Twisted Tails, Et si Wendy s'était rendue au Pays imaginaire avec le capitaine Crochet, Twisted tale Disney Tout droit jusqu'au matin, Liz Braswell, Hachette Heroes". 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Ce roman de Guy de Maupassant a été publié en feuilleton à Paris en février et mars 1883. Il a été publié en volume la même année. Résumé détaillé par chapitre CHAPITRE I Jeanne, 17 ans, fille d'aristocrates normands, quitte le couvent dans lequel elle séjourne depuis quelques années ses parents ont voulu la meilleure éducation possible. Ils sont venus la chercher et, malgré une grosse pluie, ils prennent la route en direction de la demeure familiale située près du village de Yport, "Les Peuples". La liberté retrouvée de Jeanne lui fait ressentir un grand bonheur et elle redécouvre sa maison d'enfance, la nature qui l'entoure et son ancienne chambre avec joie. Ses parents aussi sont heureux, particulièrement son père qui lui fait visiter le domaine familial avec une grande fierté. Tout est harmonieux et doux, elle admire son environnement et se prend à rêver d'amour. CHAPITRE II "Une vie charmante et libre commença pour Jeanne." La jeune fille adore la nature qui l'entoure et en profite pleinement. Adélaïde, sa mère, a des problèmes de santé, elle est obèse et se plaint de "son hypertrophie". Un après-midi, l'abbé Picot se présente chez eux. Lors du dîner, il évoque en des termes élogieux Monsieur le vicomte de Lamare, fils du vicomte du même nom, décédé l'an passé. Il indique que le jeune homme s'ennuie dans le pays. A ces mots, le père de Jeanne dit au curé d'amener le vicomte chez eux. CHAPITRE III A la sortie de la messe, le curé présente le vicomte à Jeanne. Ce dernier est ensuite invité à se rendre dans la demeure familiale quelques jours plus tard. Lors de leur premier repas partagé, le vicomte plaît aux parents de Jeanne et ses visites au "Peuples" deviennent régulières. Une certaine complicité naît entre les deux jeunes gens. Lors d'une sortie en mer vers Etretat, ils deviennent plus proches l'un de l'autre. Jeanne en rentrant le soir se demande si le vicomte est celui qu'elle attend. Quelques temps plus tard, le vicomte demande Jeanne en fiançailles lors d'une cérémonie organisée à l'insu de celle-ci en mer, sur un bateau décoré de rubans, entourés par un paysage magnifique. Elle accepte sans hésiter. Elle lui demande son prénom et apprend qu'il s'appelle Julien. Enfin, il veut savoir si elle veut l'épouser. D'un regard, elle lui fait comprendre que sa réponse est positive. CHAPITRE IV Monsieur le vicomte demande la main de Jeanne à son père. Le mariage est préparé, il a lieu en comité restreint. Le seul membre de la famille – en dehors des parents de Jeanne – est tante Lison, une vieille fille, timide et effacée. Jeanne est heureuse. La nuit de noces est cependant un moment difficile pour la jeune fille apeurée, elle se donne à son mari, surprise et sans éprouver aucun plaisir. CHAPITRE V Quatre jours plus tard, les jeunes mariés partent en voyage de noces en Corse. Au début, Jeanne est assez distante, ne comprenant ni n'appréciant l'attirance physique de son mari à son égard. Un jour, cependant, alors qu'ils s'enlacent dans la magnifique nature corse qui plaît tant à Jeanne, la jeune femme découvre le plaisr des sens et ressent un véritable élan d'amour pour son mari. Elle est tout autant émerveillée par la beauté des paysages. Juilen, lui, semble être plus matérialiste, moins rêveur il compte son argent, cherche à réaliser des économies sur les pourboires. Il semble avoir changé, il se montre fatigué et peu à peu indifférent à sa femme. Il lui demande l'argent que les parents de celle-ci lui ont remis avant son départ. Elle accepte. Mais, plus tard, quand elle souhaite récupérer cette somme pour faire quelques dépenses sur le chemin du retour à Paris, il ne lui donne que cent francs sur les deux mille francs initiaux et lui recommande de ne pas les gaspiller. Ainsi, elle restreint ses dépenses en achetant qu'un petit pistolet qu'elle avait promis à une femme corse rencontrée pendant le voyage. CHAPITRE VI Jeanne et Julien rentrent aux "Peuples". C'est la fin de l'automne. Le jeune femme est tout d'abord triste et nostalgique, elle s'ennuie. Puis, peu à peu, la routine rythme ses journées et elle retrouve un certain élan. Julien s'occupe peu d'elle, il passe beaucoup de temps avec le baron à s'occuper de ses affaires. Il est de plus en plus distant avec la jeune fille et ne la retrouve dans sa chambre que rarement. Le jeune homme accorde une grande importance à l'image que renvoie la famille. Ainsi, il fait repeindre les écussons des deux portières de la calèche. Parallèlement, il fait des économies sur le personnel et deux vieux chevaux tirent la voiture. Il est très sérieux et accuse la famille de Jeanne d'avoir gaspillé sa fortune. Il engendre une ambiance glaciale. Ils font une visite à une famille noble des alentours mais celle-ci tourne court car ils n'ont rien à se dire. Au moment de repartir, plus tôt que prévu, le cocher a disparu. Lorsqu'il réapparaît, Julien le rue de coups. Le père de Jeanne est obligé de se fâcher pour qu'il s'arrête. L'ambiance est triste et morose. Les parents de Jeanne quittent leur demeure pour s'installer à Rouen. CH1APITRE VII Julien prête peu d'attention à Jeanne, consomme de plus en plus d'alcool et semble totalement absorbé par ses affaires. Il fait des économies sur tout, c'est un être dur et froid. Jeanne, de son côté, se tait pour éviter le conflit et passe seule de bons moments. Rosalie, sa soeur de lait, domestique dans la maison depuis toujours, est depuis quelques temps effacée et paraît triste. Un jour qu'elle se trouve dans la chambre de sa maîtresse,elle est prise de violentes douleurs elle est en train d'accoucher. Jeanne, voyant la détresse de la jeune femme veut lui venir en aide mais Rosalie refuse obstinément de lui indiquer le nom du père de l'enfant. Le bébé est placé en nourrice. La domestique n'est pas chassée du foyer grâce à l'intervention de Jeanne contre la volonté de son mari. Une nuit, Jeanne se sent mal. Elle appelle Rosalie mais n'obtient pas de réponse. Alors, elle décide d'aller chercher du réconfort dans la chambre de Julien. Lorsqu'elle entre dans la pièce, elle trouve Rosalie dans le lit de son mari. Choquée et désespérée, elle s'enfuit dans la campagne glacée. Puis, elle pense à ses parents et se calme, oubliant l'idée de suicide qui l'a traversée. Elle est ensuite conduite dans sa chambre où elle passe plusieurs jours à délirer. Lorsqu'elle se réveille, elle annonce à ses parents – qui sont arrivés plus tôt – la cause de ses soucis. Sa mère ne la prend pas au sérieux. Son père propose de faire témoigner Rosalie devant le curé pour lui interdire le mensonge. La pauvre fille avoue tout Julien a des relations avec elle depuis le jour où il a franchi le seuil de la maison. Les parents éprouvent de la colère mais l'abbé les calme en disant que la conduite du jeune homme est celle de tous les hommes de la campagne normande. Finalement, cet argument est accepté. Jeanne est épuisée, d'autant qu'elle est enceinte elle l'a appris à son réveil. Il est décidé que Rosalie sera installée dans la ferme de Barville qui appartient au baron. Le curé promet de se charger de lui trouver un mari pour régulariser sa situation. CHAPITRE VIII Julien passe beaucoup de temps à faire des promenades à cheval il s'agit de sa nouvelle occupation favorite. Un après-midi, le couple reçoit la visite d'un couple de notables, les Fourville. Pour l'occasion, Julien soigne son apparence physique. Jeanne est séduite par la jeune femme. Ils promettent de se revoir. Deux mois plus tôt que prévu, Jeanne accouche en souffrant beaucoup. Elle est prise d'une folle passion pour son fils à tel point que l'enfant est confié à une nourrice Julien souhaite ainsi diminuer l'intensité de l'amour que sa femme porte à leur enfant. De son côté, Julien n'éprouve aucune attirance pour le nouveau-né. Un peu plus tard, Julien est pris d'une grande colère quand il apprend que des terres ont été données à Rosalie et à son enfant. Il demande aux parents de Jeanne de revenir sur leur décision, mais ceux-ci refusent. Rosalie trouve ainsi un mari. Les parents de Jeanne repartent à Rouen. CHAPITRE IX Julien et Jeanne rendent visite aux Fourville. Le jeune homme semble être un familier des lieux. Quelques jours plus tard, ils se rendent chez les Coutelier, qui passaient pour la première famille noble des environs. Mais les relations restent froides et guindées. Il est décidé qu'ils n'y retourneront pas. Ils fréquentent cependant régulièrement les Fourville. Un jour de printemps, Jeanne a une révélation elle réalise que Julien et Gilberte Fourville sont amants. Elle en a la preuve très rapidement. Elle fait celle qui ne sait rien. A l'arrivée de ses parents, Jeanne est effondrée quand elle aperçoit sa mère celle-ci semble avoir beaucoup vieilli et elle est très affaiblie et ne peut quasiment plus se déplacer. Le baron doit s'absenter du domaine. Alors, que Jeanne est partie en promenade, on l'appelle sa mère est au plus mal. Celle-ci est en fait décédée. Les obsèques sont organisées. Jeanne est très affectée par cette mort. En veillant sa mère, elle a tout à coup l'idée d'ouvrir le coffre à reliques de celle-ci. Elle y découvre une correspondance qui la choque elle comprend que sa mère a été la maîtresse d'un des meilleurs amis des parents de Jeanne. Elle brûle toutes les lettres. CAHPITRE X Les jours sont monotones et Jeanne fait peu à peu le deuil de sa mère, écrasée par le souvenir de ce qu'elle a découvert. Parallèlement, lui vient un nouveau besoin celui d'avoir une fille. Or, elle n'a plus de relations avec son mari depuis qu'elle a eu connaissance de la relation qu'il a eue avec Rosalie. Elle ne sait comment faire. Alors, elle va demander conseil au curé qui lui promet d'intervenir auprès de Julien. Julien retourne dans dans le lit de Jeanne, mais il prend ses précautions car il ne veut absolument pas d'autre enfant. Jeanne est désespérée. Elle retourne voir le curé qui lui conseille de faire croire qu'elle est enceinte pour que son mari cesse de prendre toute précaution. C'était une bonne idée Jeanne tombe enceinte. Elle ferme maintenant la porte de sa chambre à son mari. Un nouvel abbé vient remplacer le précédent. Il a un caractère très différent et prône une pratique très rigoureuse de la religion. Le baron n'aime pas les pratiques de cet homme et l'indique à sa fille. Jeanne se rapproche de l'homme d'église et devient une fidèle pratiquante. Mais peu à peu, il s'immisce dans la vie privée de tous et croit apprendre à Jeanne que son mari a une maîtresse. Elle ne réagit pas et l'homme d'église la critique à ce sujet. Il va ensuite prévenir le mari de Gilberte Fourville. Ce dernier, fou de rage, découvre la cabane dans laquelle les deux amants se sont retrouvés et il la fait basculer dans un précipice. Ils sont retrouvés morts tous les deux. Jeanne, très choquée par la mort de son mari, accouche d'un enfant mort une fille. CHAPITRE XI Commence une série d'années monotones et douces. Jeanne vit avec sa tante Lison et son père. Tous trois ne se consacrent qu'au fils de Jeanne qui est devenu le centre de tous les intérêts. L'enfant - surnommé Poulet- est surprotégé et élevé loin des contraintes sociales il ne fait pas sa communion alors qu'il en a l'âge. Il finit tout de même, à l'âge de douze ans par entrer en pensionnat dans un collège du Havre. Son absence désespère sa mère qui ne cesse d'aller le voir. Ses résultats ne sont pas brillants. Les années passent et c'est maintenant Paul qui rend visite à sa famille aux "Peuples". L'enfant devient adulte et semble être de moins en moins intéressé par ses visites au domaine familial. Un jour, Jeanne reçoit la visite d'un huissier qui vient se faire régler des dettes que Julien a contractées. Commence alors une nouvelle période le jeune homme a arrêté les études, a une relation avec une femme et accumule les dettes que sa famille rembourse régulièrement. Ses visites sont très rares et il ne contacte ses parents uniquement quand il a besoin d'argent. Il séjourne à Paris et en Angleterre. Le baron meurt d'une attaque d'apoplexie. Quelques temps plus tard, c'est au tour de Tante Lison. Jeanne, seule, s'effondre au cimetière. Elle est relevée et soignée par une femme qu'elle ne reconnaît pas dans un premier temps il s'agit de Rosalie. Les deux femmes se retrouvent et passent une nuit à parler, évoquant tout ce qui s'est passé pendant cette vingtaine d'années qui les a séparées. Rosalie affirme qu'elle a été assez heureuse. Elle est veuve maintenant, son fils a grandi et s'est marié. La ferme a été bien entretenue. Rosalie annonce à Jeanne qu'elle va rester près d'elle, et cela, sans gage car la mère de Paul n'a presque plus d'argent. CHAPITRE XII Rosalie prend totalement en charge Jeanne. Elle lui indique qu'elle doit cesser d'envoyer de l'argent à Paul et que le domaine des "Peuples" doit être vendu. Jeanne prépare son déménagement et quitte les lieux avec beaucoup de tristesse. CHAPITRE XIII les deux femmes s'installent dans une maison bourgeoise de Batteville. Les mois passent et Paul n'est toujours pas venu. Jeanne lui écrit une lettre pour lui demander de revenir. Il lui répond en lui demandant l'autorisation de se marier avec la femme qu'il aime. Jeanne refuse et part à Paris à sa recherche par le train. Arrivée dans la capitale, elle ne le trouve pas il a déménagé, laissant derrière lui de nombreuses dettes qu'elle paie. Rosalie, mise au courant de la situation demande à Jeanne de rentrer. CHAPITRE XIV La vie est très monotone. Jeanne ne sort plus, ne bouge plus. Elle vit dans le souvenir de son passé qu'elle tente de reconstituer minutieusement. En rentrant d'une visite aux "Peuples", elle découvre une lettre de Paul qui lui demande de l'aide sa femme qui vient d'accoucher d'une petite fille est en trian de mourir, et il ne sait pas quoi faire de l'enfant. Rosalie propose d'aller chercher l'enfant et part par le train. Là -bas, elle arrange la mariage de Paul pour l'enfant et elle rentre avec le bébé. Quand Jeanne les accueille, une émotion infinie l'envahit. Une nouvelle vie semble commencer pour les deux femmes.
RĂ©sumĂ©des chapitres d'Olivier (1 Ă 11) Albert va Ă une vente de chevaux oĂą il veut acheter un cheval. Il voit tellement de beaux chevaux mais après, il a vu un cheval spectaculaire avec une Ă©toile sur son front. Il a adoptĂ© le cheval et il l’a nommĂ© Joey. Après plusieurs hivers, le père d’Albert a dit que si le cheval ne faitJ’étais depuis quelque temps dans mon lit, mais je ne dormais pas. J’entendais Mère Barberin parler avec son mari, et je me demandais pourquoi mon père semblait mĂ©chant. La maison, c’est une grande salle ; dans un coin se trouvait la table, dans un autre mon lit, dans le troisième celui de ma mère. Au fond, c’était la cheminĂ©e. Ils Ă©taient tous deux assis près de la table, assez loin de moi, mais je pouvais entendre ce qu’ils disaient. — Pourquoi as-tu gardĂ© cet enfant ? demandait l’homme. — Parce que je l’aime. Rappelle-toi, Barberin, nous l’avons trouvĂ© quand il Ă©tait Ă peine un bĂ©bĂ©, je lui ai donnĂ© mon lait, Ă ce pauvre petit, puisque notre fils venait de mourir. Comment, pouvais-je le jeter dehors ! — Quel âge a-t-il ? — Huit ans. — Il faut nous dĂ©brouiller pour gagner de l’argent avec lui. Ah, que j’ai Ă©tĂ© bĂŞte ! Quand je l’ai trouvĂ©, il y a huit ans, Ă notre porte, il Ă©tait habillĂ© de beaux vĂŞtements. J’ai cru que ses parents allaient venir le chercher, et nous donner de l’argent. Maintenant, il doit gagner sa vie. Nous n’avons plus de vache, mon accident ne me permet plus de travailler. Ne me dis rien, c’est dĂ©cidĂ©. Puis il sort. Alors, j’appelle Mère Barberin ; elle arrive vite, et m’embrasse. — Tu ne dors pas, mon petit ? Tu as donc tout entendu ? — Oui, et je comprends. Tu n’es pas ma Maman, et cela me fait de la peine. Mais cet homme n’est pas mon père, et cela me fait plaisir, parce que je ne l’aime pas. Je pleurais. Je voulais bien gagner ma vie, mais j’avais peur de ne pas rester avec ma Mère Barberin. On m’avait parlĂ© d’une grande maison oĂą vont les enfants et les vieux qui n’ont personne pour s’occuper d’eux. Je ne voulais pas y aller. La Mère Barberin me tenait la main, en me parlant doucement. Le sommeil, enfin, est venu. Madame Barberin, dont on ne connaĂ®t pas le prĂ©nom, est la mère adoptive de RĂ©mi. C’est elle qui lui a donnĂ© ce prĂ©nom. C’est une femme humble, gĂ©nĂ©reuse, au grand cĹ“ur, toujours optimiste. Elle est calme, agrĂ©able, et aime RĂ©mi comme son propre fils. Elle a donc Ă cĹ“ur de l’éduquer correctement et de le protĂ©ger, en faisant preuve d’amour et de tendresse. Elle refusera d’abandonner RĂ©mi lorsque son mari le lui ordonnera ; elle est absente le jour oĂą JĂ©rĂ´me Barberin vend RĂ©mi Ă Vitalis. RĂ©mi RĂ©mi est un petit garçon âgĂ© de huit ans au dĂ©but du rĂ©cit, qui a Ă©tĂ© trouvĂ© lorsqu’il n’était encore qu’un nourrisson par un couple, les Barberin Je suis un enfant trouvĂ©. Mais, jusqu’à huit ans, j’ai cru que, comme tous les autres enfants, j’avais une mère, car, lorsque je pleurais, il y avait une femme qui me serrait si doucement dans ses bras en me berçant, que mes larmes s’arrĂŞtaient de couler. Jamais je ne me couchais dans mon lit sans qu’une femme vint m’embrasser, et, quand le vent de dĂ©cembre collait la neige contre les vitres blanchies, elle me prenait les pieds entre ses deux mains et elle restait Ă me les rĂ©chauffer en me chantant une chanson, dont je retrouve encore dans ma mĂ©moire l’air et quelques paroles. » La description dans l oeuvre Le portrait physique Le portrait moral L aspect vestimentaire Le portrait de Vitalis dĂ©but dans Sans Famille Tandis que Barberin se plaçait Ă une table avec le maĂ®tre du cafĂ© qui l’avait engagĂ© Ă entrer, j’allai m’asseoir près de la cheminĂ©e et je regardai autour de le coin opposĂ© Ă celui que j’occupais, se trouvait un grand vieillard Ă barbe blanche, qui portait un costume bizarre et tel que je n’en avais jamais ses cheveux, qui tombaient en longues mèches sur ses Ă©paules, Ă©tait posĂ© un haut chapeau de feutre gris ornĂ© de plumes vertes et rouges. Une peau de mouton, dont la laine Ă©tait en dedans, le serrait Ă la taille. Cette peau n’avait pas de manches, et, par deux trous ouverts aux Ă©paules, sortaient les bras vĂŞtus d’une Ă©toffe de velours qui autrefois avait dĂ» ĂŞtre bleue. De grandes guĂŞtres en laine lui montaient jusqu’aux genoux, et elles Ă©taient serrĂ©es par des rubans rouges qui s’entre-croisaient plusieurs fois autour des jambes .Il se tenait allongĂ© sur sa chaise, le menton appuyĂ© dans sa main droite ; son coude reposait sur son genou je n’avais vu une personne vivante dans une attitude si calme . Père Barberin a accompagnĂ© RĂ©mi avec lui au cafĂ©. Au cafĂ©, RĂ©mi a rencontrĂ© un vieil homme nommĂ© Vitalis. Vitalis est un montreur de chiens. Il fait des reprĂ©sentations pour amuser Les gens et pour gagner sa vie. Vitalis apprend Ă RĂ©mi son rĂ´le Il doit avoir l’air bĂŞte. Pour remercier la troupe de Vitalis, les gens les applaudissent et leur jettent des pièces de monnaie. On ne sait pas Ă quoi RĂ©mi ressemble physiquement car le rĂ©cit est Ă la première personne et le narrateur ne se dĂ©crit pas lui-mĂŞme. Les Barberin habitent dans un petit village d’Auvergne et gagnent leur vie tant bien que mal, le père Ă©tant maçon. Lorsque l’argent vient Ă manquer, Barberin dĂ©cide de se dĂ©barrasser de RĂ©mi, devenu un poids pour lui. Le petit garçon est alors vendu pour trente francs Ă un saltimbanque de passage, un vieil homme nommĂ© Vitalis. RĂ©mi, bien que triste d’avoir quittĂ© sa mère, va apprendre de nombreuses choses aux cĂ´tĂ©s de Vitalis, comme la lecture, et va se montrer très adroit, que ce soit pour jongler, jouer de la harpe, jouer la comĂ©die, etc. Cette Ă©ducation ne ressemblait guère Ă celle que reçoivent tant d’enfants, qui n’ont qu’à travailler, et qui se plaignent pourtant de n’avoir pas le temps de faire les devoirs qu’on leur donne. Mais il faut bien dire qu’il y a quelque chose de plus important encore que le temps qu’on emploie au travail, c’est l’application qu’on y apporte ; ce n’est pas l’heure que nous passons sur notre leçon qui met cette leçon dans notre mĂ©moire, c’est la volontĂ© d’apprendre. » Ses divers talents vont lui ĂŞtre utile pour subvenir Ă ses besoins. Il va connaĂ®tre de nombreuses aventures, tentant de retrouver sa vraie famille, allant de joies en dĂ©ceptions, mais gardant toujours courage et optimisme, sa droiture et son honnĂŞtetĂ©, comme le lui avait enseignĂ© sa mère. le bon MaĂ®tre Vitalis, mort de froid et d'Ă©puisement au terme d'une nuit infernale, prisonnier du vent glacial et des neiges assassines, et dont le dernier sacrifice fut de protĂ©ger RĂ©mi d'une mort certaine en le recouvrant de la chaleur de son pauvre corps de vieillard sur le point de trĂ©passer. Zerbino et Dulcie ont Ă©tĂ© dĂ©vorĂ©s par des loups. Quant Ă Joli CĹ“ur, sa vie est gravement en danger. Perdus dans la montagne, ils rencontrent CĂ©cile, une petite fille, qui les accueille chez elle. Malheureusement, le village n'a ni mĂ©decin, ni vĂ©tĂ©rinaire... De son cĂ´tĂ©, la vache de CĂ©cile, qui doit bientĂ´t mettre bas, est très malade. RĂ©mi part dans la montagne Ă la recherche de plantes mĂ©dicinales et, le lendemain, Ă l'aube, la naissance se dĂ©roule sans problème. RĂ©mi est Ă©mu et son Ă©motion fait briller une nouvelle lueur dans son cĹ“ur Les loupsRĂ©mi et la troupe cherchent un endroit pour s'abriter du vent et de la neige. ÉpuisĂ©, RĂ©mi s'endort près du feu. Les loups rĂ´dent autour de la cabane. Zerbino et Dulcie, qui ont quittĂ© la cabane pour chercher de quoi manger, sont attaquĂ©s par les loups. EffrayĂ©, Joli CĹ“ur a grimpĂ© en haut d'un arbre. Le pauvre singe meurt de froid, de peur et de 1 – Dans le premier chapitre du livre Sans Famille, il y a un petit garçon, RĂ©mi, qui vit avec sa mère. Son père, monsieur Barbarin, travaille Ă Paris et envoie de l’argent Ă la famille. RĂ©mi aime sa vie, mais un jour, tout change. Un homme vient Ă leur maison et dit que le père de RĂ©mi ne peut plus travailler. Il a eu un accident. Il a aussi demandĂ© Ă sa femme de lui envoyer des sous. RĂ©mi et sa mère sont obligĂ©s de vendre la vache. Leur vie est plus dure, mais la mère de RĂ©mi essaie de la rendre plus douce. A la fin du chapitre, RĂ©mi rencontre son père pour la première fois. Chapitre 2 – Le père Barbarin est rentrĂ© chez lui. Quand il voit RĂ©mi, il est furieux. Il dit a la mère de faire une soupe. Ils mangent leur soupe d’oignons et RĂ©mi va se coucher. Mais, il ne dort pas! Il Ă©coute la conversation de Barbarin et sa femme. Barbarin se fâche parce que RĂ©mi n’est pas Ă l’hospice des enfants trouvĂ©s. Barbarin va rendre visite Ă un copain. RĂ©mi appelle sa mère. Ils demande si elle est vraiment sa mère. Elle rĂ©pond non, mais il est juste comme son fils. Elle lui dit que Barbarin l’a trouvĂ© Ă Paris. Il a laissĂ© la mère le garder pour un petit peu. Mais elle lui a dĂ©sobĂ©it et elle a gardĂ© RĂ©mi pour très longtemps. RĂ©mi ne veut pas aller Ă l’hospice parce qu’il a peur. Chapitre 3 – Barbarin a emmenĂ© RĂ©mi au cafĂ©. RĂ©mi s’est assis dans un coin et il a regardĂ© ce qu’il se passait. Un homme avec trois chiens s’est approchĂ© de Barbarin. Il a entendu que Barbarin ne voulait plus RĂ©mi. Il a offert de le louer. Après, il a montrĂ© tous ses animaux. Il avait trois chiens et un singe. RĂ©mi ne voulait vraiment pas ĂŞtre louĂ©. Il voulait rester avec la mère Barbarin. Après un peu de temps, RĂ©mi est envoyĂ© dehors. Les deux hommes nĂ©gocient ce qu’ils vont faire. Plus tard, Barbarin sortit et dit Ă RĂ©mi qu’ils vont rentrer. RĂ©mi est trop content. Chapitre 4 Dans se chapitre, RĂ©mi est très content parce qu’il est toujours Ă sa maison. Quand il se rĂ©veille, il voit que la mère Barberin n’est pas Ă la maison. Il va l’attendre dans son jardin. Après, Barberin vient chercher RĂ©mi. L’homme, Vitalis, est lĂ pour l’amener Ă sa maison. RĂ©mi est très triste. Il ne va plus voir sa mère. RĂ©mi et Vitalis commencent de partir Ă leur nouvelle maison. Juste avant que RĂ©mi passe de l’autre cotĂ© de la montagne, il voit sa mère, une dernière fois. Chapitre 5 – Dans se chapitre, RĂ©mi et Vitalis continuent leur chemin. RĂ©mi est fatiguĂ© parce qu’il marche avec des gros sabots. Vitalis lui dit qu’il va lui acheter des souliers. RĂ©mi est très content et dĂ©cide qu’il va peut-ĂŞtre aimer Vitalis. Tout-Ă -coup, il commence Ă pleuvoir. Vitalis et RĂ©mi et les animaux restent dans une grange pour la nuit. Capi dort avec RĂ©mi et le petit garçon rĂ©alise qu’il a un ami. Chapitre 6 Dans se chapitre de Sans Famille, RĂ©mi et Vitalis continuent leur chemin. Ils arrivent dans une ville et Vitalis achète des souliers Ă RĂ©mi et d’autres habits. Après, il emmène RĂ©mi travallier. Il lui explique qu’il va faire une comĂ©die avec Jolie Coeur et Capi. Ils pratiquent pendant trois heures. Le lendemain, ils se lèvent tĂ´t pour faire leur comĂ©die en publicue. RĂ©mi a compris son rĂ´le de garçon stupide et il l’a bien fait. ActivitĂ©s des Ă©lèves Mai 2015 3/5 3/6 voir le film pour comprendre la suite des Ă©vĂ©nements Mai 2015 L'ĂŽle au trĂ©sor Treasure Island, couverture d'une Ă©dition de 1911 Auteur Robert Louis Stevenson Genre Roman d'aventure Titre originalTreasure Island Éditeur originalYoung Folks Pays d'origine Écosse Date de parution originale Le rĂ©cit est celui d'un jeune garçon Jim Hawkins, fils du gĂ©rant de l'auberge L'Amiral-Benbow » au xviiie siècle. Un jour, un vieux loup de mer nommĂ© Billy Bones dĂ©barque Ă l'auberge et s'y installe. Jim est fascinĂ© et terrifiĂ© par ce marin colĂ©rique, violent et ivrogne ; d'autant qu'il semble peser sur ce dernier une obscure menace. Celle-ci se prĂ©cise lorsque Pew, un pirate aveugle, donne Ă Billy Bones la marque noire », annonciatrice de mort dans le monde des pirates. Alors que les heures de Billy Bones sont comptĂ©es, il meurt, foudroyĂ© par une crise d'apoplexie, tandis qu'au mĂŞme moment, le père de Jim meurt d'une grave maladie. Ce dernier Ă©tait soignĂ© par le docteur Livesey. Ils partent dans le village voisin pour ramener du monde, pour les aider contre la bande de Flint qui n'allait pas tarder ... Mais personne ne vint ... Jim et sa mère fouillent le corps de Billy Bones et dĂ©couvrent la clĂ© du coffre que le pirate gardait jalousement cachĂ©e dans sa chambre. En ouvrant le coffre du pirate, ils dĂ©couvrent un petit sac d'or et un paquet que Jim emporte avec lui par curiositĂ©. Entre autres, quelques babioles appartenant Ă Bones. Jim s'empare donc du paquet, et sa mère juste l'argent que lui devait Billy Bones, elle voulait montrer aux gens qu'elle Ă©tait raisonnable. Ils se rendent tous deux chez leurs voisins et manquent de se faire tuer par Pew et ses hommes, qui ne les ont pas vu, heureusement . Jim laisse sa mère avec les voisins et part voir le docteur Livesey qui dĂ®nait chez le squire Trelawney, accompagnĂ© de quelques hommes du voisinage. Ils dĂ©cident tous trois d'ouvrir le paquet de Jim et dĂ©couvrent une carte au trĂ©sor. Ils se lancent alors dans une fabuleuse aventure vers l'Ă®le au trĂ©sor. Un navire baptisĂ© l'Hispaniola est affrĂ©tĂ© pour partir Ă sa recherche. L'Ă©quipage est composĂ© d'un capitaine très strict, de joyeux pirates et d'un cuisinier très populaire du nom de Long John Silver. Ce vĂ©tĂ©ran est le conseiller de tous et il lui manque une jambe . Au cours de la traversĂ©e, Jim surprend une conversation entre le cuisinier, Long John Silver, et des hommes d'Ă©quipage il apprend ainsi que la plupart des marins Ă bord de l'Hispaniola font partie de la bande de Flint et qu'une mutinerie se prĂ©pare pour s'emparer du trĂ©sor et du bateau. Jim avertit ses amis du danger. Ils dĂ©cident de ne pas agir avant d'ĂŞtre Ă terre tout en restant sur leurs gardes. Seuls le docteur, le châtelain, le capitaine, quelques marins et Jim sont restĂ©s fidèles. Lorsque l’île est atteinte, Jim cachĂ© dans un buisson assiste Ă l'assassinat de Tom par Long John Silver, un membre d’équipage, pris de peur il s'enfuit alors sans bruit. La lutte s’engage entre les deux groupes. Le jeune Hawkins dĂ©couvre, lors d'une promenade sur l'Ă®le, un ancien pirate du nom de Ben Gunn, qui lui explique qu'il a Ă©tĂ© abandonnĂ© par son Ă©quipage. Il lui rĂ©vèle Ă©galement l'existence d'une barque cachĂ©e derrière un gros rocher blanc près du rivage. De son cĂ´tĂ©, le jeune garçon lui raconte son aventure. Ben Gunn se dĂ©clare prĂŞt Ă les aider mais si quelqu'un veut lui parler, il devra venir seul avec un objet blanc Ă la main. Jim ne rĂ©vèle pas tout de suite l'existence de Ben Gunn. Lui et ses amis se rĂ©fugient dans un fortin en bois. Les pirates les prennent d'assaut et rĂ©ussissent Ă blesser le capitaine mais perdent quelques-uns de leurs hommes. Pendant que le châtelain soigne le capitaine et que le docteur est parti rencontrer Ben Gunn après l'aveu de Jim Ă propos de l'ancien pirate, ce dernier dĂ©cide de partir Ă la recherche de la barque Ă©voquĂ©e par Ben Gunn. Grâce Ă elle, il parvient Ă trancher l'amarre de l'Hispaniola et monte Ă bord. Il tombe sur un pirate ivre et grâce Ă son aide, fait naviguer le bateau jusqu'Ă un endroit introuvable pour les pirates. Mais lors de la dernière manĹ“uvre, le pirate essaie de tuer Jim. Le jeune garçon parvient Ă tuer le pirate grâce aux armes qu'il avait prises avant de s'Ă©vader du fortin mais est blessĂ© Ă l'Ă©paule. Quittant le bateau, il retourne au fortin pour annoncer Ă ses amis qu'il dĂ©tient le bateau, mais il tombe sur Long John Silver et ses hommes. Ceux-ci se prĂ©parent Ă le tuer quand Silver dĂ©cide de lui laisser la vie sauve, impressionnĂ© par le discours de bravoure que Jim a tenu devant eux en leur dĂ©clarant que c'Ă©tait lui qui avait contrariĂ© tous leur plans. Les pirates de Long John, mĂ©contents, veulent se rĂ©volter, mais Silver parvient Ă les calmer en leur promettant le trĂ©sor. Silver explique Ă Jim que le docteur Livesey lui a laissĂ© le fortin et la nourriture du bateau qu'il possĂ©dait et qu'il s'en Ă©tait allĂ© avec ses amis dans un endroit inconnu. Jim fut d'autant plus surpris que le docteur avait laissĂ© la carte au trĂ©sor entre les mains de Silver................. Roman d'aventures Première partie Le vieux boucanier Chapitre I Le vieux loup de mer Ă l'Amiral BenbowLe narrateur, Jim Hawkins, dĂ©voile tout ce qu'il connait de l'Ă®le au trĂ©sor. Il raconte Un jour, Ă l'auberge Benbow que tient son père, un vieux marin renfrognĂ© prend pension, prĂ©fĂ©rant cette auberge pour son isolement. Il guette avec inquiĂ©tude la venue d'un marin Ă une capitaine garde jalousement un coffre dont il garde le contenu secret. Chapitre II Black Dog apparaĂ®t et disparaĂ®tL'hiver suivant, alors que le capitaine s'absente, un inconnu Ă l'air patibulaire demande Ă rencontrer ce dernier. De retour, le capitaine reconnaĂ®t son ancien acolyte, Black Dog. AussitĂ´t une bagarre Ă©clate. Black Dog, blessĂ©, prend la fuite. Quant au capitaine, le voilĂ qu'il s'Ă©croule, terrassĂ© par une attaque cardiaque. Il est soignĂ© par le Docteur Liversey. Chapitre III La tache noireLe capitaine en convalescence confie Ă Jim que ses ennemis, le vieux Flint et l'homme Ă la jambe de bois, convoitent son coffre. Il craint la mystĂ©rieuse tache noire, un avertissement jour, le capitaine reçoit une Ă©trange visite un vieil homme, aveugle et laid, lui remet quelque chose. Peu de temps après, le capitaine succombe d'une crise d'apoplexie en prononçant ces mots Dix heures ! Reste 6. On peut encore les avoir ! ». Chapitre IV Le coffre de marinLa mort du capitaine ne prĂ©sageant rien de bon, Jim et sa mère quitte l'auberge afin de trouver aide et refuge dans le village voisin. Or, au seul nom de Flint, les villageois sont terrorisĂ©s. Jim n'a d'autre alternative que de retourner Ă l'auberge afin d'Ă©lucider seul le mystère du il recherche les clĂ©s du coffre. Il trouve dans....... L'Ă®le au trĂ©sor chapitre 1 Jim Hawkins travaillait avec son père dans leur auberge. Un jour, Bill, un capitain arriva Ă leur hĂ´tel et resta trois ans Ă l'attente d'un unijambiste. Ce dernier lui envoya un homme s'appelait Chien Noir pour le tuer. Ils eurent alors une violente dispute -L'Ă®le au trĂ©sor Chapitre 2 Le capitain blessĂ© Ă l'Ă©paule sait que le Chien Noir va le tuer , Jim perd son père quatre jours auparavant , Un jour un vieil aveugle arriva devant l'auberge pour voir Bill et lui glissa une chose dans la main , c'Ă©tait un message ou il leur rend le coffre ou ils le tuent .Mais le capitain est mort suite Ă sa blesse . Jim et sa mère prennent ce qu'il y avait dans le coffre et sortirent de peur que les malfaiteurs le rĂ©sumĂ© du chapitre 3 "L'Ă®le au trĂ©sor " Une carteAprès s'ĂŞtre Ă©chappĂ© Ă la bande des assaillants ,Jim Hawkins se refugea chez le docteur Liverseylequel Ă©tait entrain de dĂ®ner avec son ami le Jim leur montra le paquet trouvĂ© dans le coffreC'Ă©tait la carte au trĂ©sor .Apres savoir dĂ©terminĂ© le lien du trĂ©sor .Le squire propose de s'occuper du bateau et de l'Ă©quipage pour aller Ă la conquĂŞte du trĂ©sor - le rĂ©sumĂ© du chapitre 4 -L'Ă®le au trĂ©sor- L'Ă©quipageJim attends Ă la maison du docteur Liversey avec le vieux Redruth les prĂ©paratifs du voyage .Après avoir trouvĂ© le bateau *L'Hispaniola* et l'Ă©quipage, Jim se rend avec le vieux Ă Bristol , le lieu de dĂ©part. A l'auberge, il fait la connaissance de Silver, l'unijambiste et le trouvĂ© très sympathique, Jim aperçoit Chien Noir, les hommes de John Silver le poursuivent, mais l'assassin de Bill arrive a s'Ă©chapper - le rĂ©sumĂ© du chapitre 5 -L'Ă®le au trĂ©sor A bord de l'HispaniolaL'Hispaniola dĂ©marre vers l'Ă®le au trĂ©sor ayant comme capitaine un certain Smollet. Ce dernier n'aime pas son Ă©quipage et ne lui fait pas confiance. Son second est un ivrogne qui va mourir sur le voyage se dĂ©roule très bien et le bateau arrive Ă rĂ©sister aux tempĂŞtes. Un jour, Jim entendait une conversation entre John Silver et un matelot de quoi parlent-ils!!! ensuite- le rĂ©sumĂ© du chapitre 6 -L'Ă®le au trĂ©sor- De l'utilitĂ© d'un tonneau de pommesA l'intĂ©rieur du tonneau des pommes et suite Ă la conversation entre Silver et le matelot Dichk. Jim dĂ©couvre que le cuisinier n'est en rĂ©alitĂ© qu'un pirate qui travaillait sous les commandes du terrible et ses amis se rĂ©unissent pour planifier ce qu'ils vont faire sur l'Ă®le de squelette L'Ă®le oĂą est enterrĂ© le les pirates peuvent se mĂ©fier de Jim, ce gamin propose de les surveiller. - le rĂ©sumĂ© du chapitre 7 *l'Ă®le au trĂ©sor* A terreune fois arrivĂ©s Ă l’île, Silvir quitte le navire avec ses hommes. Jim, les accompagne mais se sĂ©pare d'eux sur l’île. Il voit Silver tuer les deux matelots Alan et puis il se sauve et rencontre un homme appelĂ© Ben Gum qui vit sur l'Ă®le depuis trois ans. Ben Gum Ă©tait pirate, on l'abandonnĂ© parce qu'il n'a pas obĂ©it au règlement du capitaine Flint. Enfin, Jim rejoint ses amis attaquĂ©s par la bande de Silver - le rĂ©sumĂ© du chapitre 8 *l'Ă®le au trĂ©sor* Le rĂ©cit du docteurJim rejoint ses amis abritĂ©s derrière une palissade. le grande d'avoir descendu du bateau, mais il le fĂ©licite quand mĂŞme pour son courage . Le docteur Liversey raconte au jeune hĂ©ros comment ils ont fait pour quitter le bateau et venir s'abriter au sommet de la colline après s'ĂŞtre approvisionnĂ© en nourriture et en armes. Le docteur lui apprend aussi la mort du vieux Redruth et l'arrivĂ©e d' Abrahem Gray dans leur camp- travail des Ă©lèves Mai 2015 Chansons de la mer Jim Hawkins n´avait pas treize ansNon pas treize ansQuand il partit sur l´ocĂ©anSur l´ocĂ©anIl Ă©tait haut comme trois pommesMais plus valeureux que trois hommes{Refrain}Mon petit garsPrend garde Ă toiSois courageuxTu connaĂ®trasMilles tempĂŞtesMilles naufragesAvant d´atteindre ton rivageSur son bateau "Hispaniola"HispaniolaUn beau matin il s´embarquaIl s´embarquaAvec le docteur LiveseyEt le bon capitaine Smollet{au Refrain}Il faut savoir qu´en ce temps lĂ En ce temps lĂ Les matelots ne plaisantaient pasPlaisantaient pasUn bon coup d´vent et hisse et hautEt du vieux rhum pour le repos{au Refrain}Il savait qu´à l´aut´bout d´la terreL´aut´bout d´la terreL´attendait l´plus grand des mystèresGrand des mystèresEt il se croyait assez fortPour dĂ©couvrir l´Ile au TrĂ©sor Le rĂ©sumĂ© du chapitre 9 -l'Ă®le au trĂ©sor- Une idĂ©e de JimAprès le dernier combat, Jim et ses amis ont une journĂ©e de repos. Après avoir signĂ© les blessĂ©s, le docteur prend la carte au trĂ©sor et son fusil et quitte le fortin. A son tour, Jim sort pour se son arrivĂ©e Ă la source, il se rappelle d'un petit bateau de Ben Gun qui se trouve près du rocher s'en procure et se dirigea vers l'Hispaniola pour couper toutes les cordes qui retiennent ce navire et le laisser partir Ă la dĂ©rive .Jim arrive Ă trancher une corde grâce au reflux et au retour de la brise -Le rĂ©sume du chapitre 10 de l'Ă®le au trĂ©sor Jim et promu capitainJim rĂ©ussit difficilement Ă attendre l'Hispaniola au lieu qu'il rencontre Tsrael Hands grièvement blessĂ©. le pirate li propose un pacte que le jeune matelot accepte avec mĂ©fiance . Après avoir coupĂ© le pevillon des pirates, Jim devient capitain de l'Hispaniola avec l'aide de Hands. En Ă©change , il doit s'occuper de la blessure de pirate et l'aider Ă boire et Ă manger- le rĂ©sumĂ© du chapitre 13 le capitaine SilverAvec une profond chagrin Jim dĂ©couvre que le blockhaus de ses amis est occupĂ© par Silver et sa bande . MalgrĂ© le grand danger qui menace, Jim refuse de sa joindre aux pirates et prĂ©fère mourir il est l'otage de Silver et il dĂ©couvre avec une Ă©trange surprise que le docteur Liversey a donnĂ©e la * vrai* carte au trĂ©sor Ă long Jhon- le rĂ©sumĂ© du chapitre 14 A la conquĂŞte du trĂ©sorLe lendemain matin , quand le docteur se rend au blockhaus pour voir ses blessĂ©s parmi les hommes de Silver , il dĂ©couvre que Jim est retenu comme otage par ces pirates . le docteur essaie alors de convaincre Silver que le secours que ce pirate porte Ă Jim lui sera comptĂ© .Apres le dĂ©part du docteur, les pirates partent Ă la conquĂŞte du trĂ©sor en prenant Jim avec eux. Avec une terrible douleur k ils dĂ©couvrent que le trĂ©sor a Ă©tĂ© dĂ©terrĂ© et dĂ©placĂ© Les personnages du roman Jim c’est lui qui raconte toute l’histoire; il en est le hĂ©ros principal. Le Docteur LIVESEY, le docteur livesey est le docteur du père a Jim et l’ami du chevalier c’est le mĂ©decin qui a soignĂ© le père de Jim. Il participe Ă l’expĂ©dition et c’est lui qui sauvera Jim Ă la fin du livre; M. TRELAWNEY, le châtelain. C’est lui qui affrète le bateau l’Hispaniola et recrute l’équipage pour aller dans l’île. Il est très bavard et assez naĂŻf. C’est ainsi qu’il recrute plusieurs anciens pirates sans s’en rendre compte. Le Capitaine SMOLLETT, engagĂ© comme Capitaine de l’Hispaniola. Il se mĂ©fie directement de certains marins engagĂ©s par le châtelain; Long John Silver, ancien pirate, cuistot de l’Hispaniola. Il a une jambe de bois et est le chef des mutins. Quand il dĂ©couvre que cela va mal tourner pour lui, il retourne sa veste. Il disparaĂ®t Ă la fin du livre lors du voyage de retour. Ben GUNN, pirate de la bande de Flint qui a Ă©tĂ© abandonnĂ© pendant 3 ans sur l’île. Il a dĂ©couvert et dĂ©placĂ© le trĂ©sor. Il contacte Jim dès son arrivĂ©e sur l’île et lui raconte ses mĂ©saventures. Au tout dĂ©but du livre Billy BONES, l’ancien pirate qui se fait appeler “capitaine” et qui dĂ©barque Ă l’auberge des parents de J. HAWKINS; c’est lui qui dĂ©tient la carte de l’île au trĂ©sor. Il meurt d’une crise d’apoplexie lorsque ces anciens complices le retrouvent; Chien Noir, ancien pirate. Il a 2 doigts coupĂ©s; c’est lui qui retrouve B. BONES; Pew, ancien pirate; aveugle. Il est tuĂ© lors du pillage de l’auberge pour retrouver la carte de l’île. le Capitaine Flint c’est d’abord le pirate qui a cachĂ© le trĂ©sor et qui a dessinĂ© la carte. Il est mort après avoir donnĂ© sa carte Ă B. BONES. C’est aussi le perroquet de Long John Silver. § nom masculin § Aventurier qui courait les mers pour se livrer au brigandage, attaquant les navires de commerce. § Personne qui commet un acte de piraterie boucanier, corsaire, Ă©cumeur, flibustier, forban,.. § LittĂ©raire. Personne qui pille, s'enrichit des dĂ©pouilles d'autrui Les pirates de la finance. § Personne qui pille les ouvrages des autres en copiant ou en dĂ©marquant. § Pirate de l’air individu armĂ© qui prend en otage l’équipage et les passagers d’un avion... RĂ©sumĂ© gĂ©nĂ©ral 1 Le rĂ©cit est celui de Jim Hawkins, fils d’un tenancier de l'auberge L'Amiral Benbow » dans un port anglais au XVIIIe siècle. Un jour, un vieux loup de mer nommĂ© Billy Bones dĂ©barque Ă l'auberge et s'y installe. Jim est fascinĂ© par le marin colĂ©rique, violent et ivrogne; d'autant qu'il semble peser sur ce dernier une obscure menace. Celle-ci se prĂ©cise lorsque Pew, un mystĂ©rieux aveugle, remet Ă Billy Bones la tache noire », annonciatrice de mort dans le monde des pirates. Alors que les heures de Billy Bones sont comptĂ©es, il meurt, foudroyĂ© par une crise d'apoplexie, tandis qu'au mĂŞme moment, le père de Jim meurt d'une grave maladie. En ouvrant le coffre du pirate, Jim et sa mère dĂ©couvrent une carte indiquant la cachette d’un fabuleux trĂ©sor que la bande du fameux capitaine Flint a enfoui dans une Ă®le dĂ©serte. Avec l’aide du docteur Livesey et du chevalier Trelawney, le châtelain du village, un navire baptisĂ© l'Hispaniola est affrĂ©tĂ© pour partir Ă sa recherche. Au cours de la traversĂ©e, Jim surprend une conversation entre le cuisinier, un personnage pittoresque Ă jambe de bois appelĂ© Long John Silver, et des hommes d'Ă©quipage il apprend ainsi que la plupart des marins Ă bord de l'Hispaniola font partie de la bande de Flint et qu'une mutinerie se prĂ©pare pour s'emparer du trĂ©sor. Jim avertit ses amis du danger qui dĂ©cident de ne pas agir avant d'ĂŞtre Ă terre tout en restant sur leurs gardes. Lorsque l’île est atteinte, la lutte s’engage entre les deux groupes. Divers Ă©pisodes plus indĂ©cis les uns que les autres se dĂ©roulent dans lesquels apparaĂ®t Ben Gunn, un pirate abandonnĂ© sur l'Ă®le par Flint, et pour finir le trĂ©sor tombe entre les mains des gentilshommes de naissance. L'Hispaniola reprend la mer avec sa prĂ©cieuse cargaison et finit par regagner l'Angleterre, non sans que Long John Silver ait rĂ©ussi Ă s'enfuir avec un sac de pièces d'or extraites du trĂ©sor lors d'une escale. RĂ©sumĂ© gĂ©nĂ©ral 2 Jim Hawkins est un jeune garçon d’à peine treize ans qui vit Ă l’Amiral Benbow », l’auberge tenue par ses parents Ă Black Hill. La vie Ă l’auberge Ă©tait simple et monotone jusqu’à l’arrivĂ©e d’un homme repoussant, taciturne et redoutable. C’est Billy Bones qui semble redouter l’arrivĂ©e d’un marin unijambiste pour des raisons qu’il est le seul Ă connaĂ®tre. Il reçoit d’abord la visite d’un homme qui se bat avec lui. C’est Chien Noir que Billy Bones chasse après l’avoir blessĂ© Ă l’épaule gauche. Puis vient Pew l’aveugle qui remet la tache noire » ; un avertissement entre pirates. Très affectĂ©, Billy Bones succombe Ă une crise d’apoplexie. Dans son coffre, Jim et sa mère trouvent une carte de trĂ©sor que le jeune garçon remet au docteur Livesey et au chevalier Trelawney. Les amis dĂ©cident d’aller chercher le trĂ©sor Ă bord d’une goĂ©lette l’Hispaniola ». Mais le chevalier est tellement bavard que tout le monde est au courant du trĂ©sor convoitĂ©. Des pirates se faisant passer pour d’honnĂŞtes marins et Ă leur tĂŞte Long John Silver ne tardent pas Ă comploter contre le capitaine et ses amis. Heureusement que Jim entend leur secrète conversation et avertit ses amis qui finissent par maĂ®triser la situation grâce Ă un marin que Jim rencontre Ă l’île .C’est Ben Gunn qui a Ă©tĂ© maronnĂ© par ses amis et qui a dĂ» passer trois ans Ă l’île. C’est lui qui dĂ©place le trĂ©sor et de cette manière les pirates ne peuvent jamais l’atteindre mĂŞme s’ils ont la carte. Silver s’enfuit avec une part du trĂ©sor un peu mĂ©ritĂ©e car il a sauvĂ© Jim des mains des pirates. Les autres amis reviennent en Angleterre pour partager le butin. Commentaire L’île au trĂ©sor » est un roman d’aventure qui retrace le schĂ©ma du bien » contre le mal », et des "mauvais" qui peuvent retrouver leur cĂ´tĂ© humain Long John Silver.C’est aussi un bel exemple du passage initiatique. L’histoire commence par un Jim faible, vulnĂ©rable et craintif et finit par un jeune homme plein de responsabilitĂ© .Un garçon qui donne aux jeunes un bel exemple de courage, d’esprit d’initiative et de responsabilitĂ©. A plusieurs reprises, ses amis ont Ă©tĂ© sauvĂ©s grâce Ă lui Les personnages du roman Jim c’est lui qui raconte toute l'histoire; il en est le hĂ©ros principal. Le Dr LIVESEY, le docteur livesey est le docteur du père Ă Jim et l'ami du chevalier c'est le mĂ©decin qui a soignĂ© le père de Jim. Il participe Ă l'expĂ©dition et c'est lui qui sauvera Jim Ă la fin du livre; M. TRELAWNEY, le châtelain. C'est lui qui affrète le bateau l'Hispaniola et recrute l'Ă©quipage pour aller dans l'Ă®le. Il est très bavard et assez naĂŻf. C'est ainsi qu'il recrute plusieurs anciens pirates sans s'en rendre compte. Le Capitaine SMOLLETT, engagĂ© comme Capitaine de l'Hispaniola. Il se mĂ©fie directement de certains marins engagĂ©s par le châtelain; Long John Silver, ancien pirate, cuistot de l'Hispaniola. Il a une jambe de bois et est le chef des mutins. Quand il dĂ©couvre que cela va mal tourner pour lui, il retourne sa veste. Il disparaĂ®t Ă la fin du livre lors du voyage de retour. Ben GUNN, pirate de la bande de Flint qui a Ă©tĂ© abandonnĂ© pendant 3 ans sur l'Ă®le. Il a dĂ©couvert et dĂ©placĂ© le trĂ©sor. Il contacte Jim dès son arrivĂ©e sur l'Ă®le et lui raconte ses mĂ©saventures. Au tout dĂ©but du livre Billy BONES, l'ancien pirate qui se fait appeler "capitaine" et qui dĂ©barque Ă l'auberge des parents de J. HAWKINS; c'est lui qui dĂ©tient la carte de l'Ă®le au trĂ©sor. Il meurt d'une crise d'apoplexie lorsque ces anciens complices le retrouvent; Chien Noir, ancien pirate. Il a 2 doigts coupĂ©s; c'est lui qui retrouve B. BONES; Pew, ancien pirate; aveugle. Il est tuĂ© lors du pillage de l'auberge pour retrouver la carte de l'Ă®le. le Capitaine Flint c'est d'abord le pirate qui a cachĂ© le trĂ©sor et qui a dessinĂ© la carte. Il est mort après avoir donnĂ© sa carte Ă B. BONES. C'est aussi le perroquet de Long John Silver. La FrĂ©gate La SĂ©rieuse IQu'elle Ă©tait belle, ma FrĂ©gate, Lorsqu'elle voguait dans le vent ! Elle avait, au soleil levant, Toutes les couleurs de l'agate ; Ses voiles luisaient le matin Comme des ballons de satin ; Sa quille mince, longue et plate, Portait deux bandes d'Ă©carlate Sur vingt-quatre canons cachĂ©s ; Ses mâts, en arrière penchĂ©s, Paraissaient Ă demi couchĂ©s. Dix fois plus vive qu'un pirate, En cent jours du Havre Ă Surate Elle nous emporta souvent. - Qu'elle Ă©tait belle, ma FrĂ©gate, Lorsqu'elle voguait dans le vent ! La biographie de l’auteur Stevenson est parfois considĂ©rĂ© comme un auteur de romans d'aventure ou de rĂ©cits fantastiques pour adolescents, mais son Ĺ“uvre a une toute autre dimension il a d'ailleurs Ă©tĂ© saluĂ© avec enthousiasme par les plus grands de ses contemporains et de ses successeurs. Ses nouvelles et romans manifestent en effet une profonde intelligence de la narration, de ses moyens et de ses effets. Il exploite tous les ressorts du rĂ©cit comme la multiplication des narrateurs et des points de vue, et pratique en mĂŞme temps une Ă©criture très visuelle, propice aux scènes particulièrement frappantes. La biographie 2 Robert Louis Stevenson NĂ© Ă Edimbourg Ecosse le 13/11/1850 ; Mort Ă Vailima Samoa, PolynĂ©sie le 03/12/1894 Robert Louis Balfour Stevenson suit d'abord le parcours de son père en intĂ©grant une Ă©cole d'ingĂ©nieur. Mais il ne tarde pas Ă changer de voie. Il s'oriente vers le droit, qu'il abandonne aussi pour se consacrer Ă l'Ă©criture. Atteint de tuberculose, Stevenson parcourt le monde Ă la recherche d'un climat plus clĂ©ment. C'est dans ses nombreux voyages qu'il puise son inspiration littĂ©raire Un voyage dans les terres, 1878. Il remporte un succès retentissant avec ses romans l'Île au trĂ©sor 1883 et Docteur Jekyll et Mister Hyde 1885, oĂą se mĂŞle aventure, psychologie et manichĂ©isme. Parmi ses nombreux Ă©crits, il publie Ă©galement des poèmes Sous-Bois, 1887 et des nouvelles les Nouvelles mille et une nuits, 1882. Toujours pour fuir les symptĂ´mes de la maladie, il s'installe aux Ă®les Samoa, et y passe ses dernières annĂ©es. Chapitre1 Jim, un jeune, garçon d’environ treize ans habitant Black Hill, voit arriver Ă l’auberge L’Amiral Benbow »tenu par son père et sa mère, un vieux marin d’un aspect louche, et effrayant il est lourd, souillĂ© et repoussant. L’homme portant une grosse caisse entre Ă l’auberge, commande du rhum et dĂ©clare Ă l’aubergiste son intention de s’installer Ă L’Amiral Benbow car le lieu lui convient sans oublier de se prĂ©senter en tant que " capitaine" et de lui jeter trois pièces d'or....... Depuis son installation Ă l'auberge, le capitaine qui devient de plus en plus taciturne, passe toute la journĂ©e Ă errer dans la baie ou sur la falaise sa langue vue Ă la main en scrutant l'horizon. Le soir, il Ă©vite les autres marins qui viennent le soir animer l'auberge. Il semble fuir tout le monde .... RĂ©sumĂ© 2Jim menait une vie tranquille dans l'auberge tenu par ses parents jusqu'Ă l'arrivĂ©e d'un homme, Billy Bones. Tout va changer dans la vie de ce jeune garçon. Chapitre2 Un jour, pendant que le capitaine Billy Bones Ă©tait en train d’errer sur la falaise comme d’habitude, un homme vint Ă sa recherche en se faisant passer pour son vieil ami. Jim ne l’a pas du tout cru car il ses gestes se contredisaient avec ses faits d’abord il empĂŞcha Jim de sortir prĂ©venir le capitaine ; ensuite il força le jeune garçon Ă se cacher derrière la porte afin de surprendre le vieux Bill. Son attitude menaçante et son aspect violent devinrent clairs lorsqu’une grosse dis**** se dĂ©clencha entre lui et son soi –disant ami. Très vite, Jim entendit les deux hommes qui se battaient .Chien Noir, blessĂ© Ă l’épaule gauche s’enfuit alors que le vieux Bill succomba Ă sa première crise d’apoplexie. RĂ©sumĂ© 2 Un jour, un homme repoussant, Chien Noir, vient chercher Billy Bones. Celui-ci paraĂ®t choquĂ© en le voyant. Très vite, une affreuse dis**** se dĂ©clenche entre eux. Chien Noir, blessĂ© Ă l'Ă©paule gauche s'enfuit alors que Billy Bones subit une crise d'apoplexie Chapitre 3 Le père de Jim très malade meurt et laisse son fils dans une grande tristesse renforcĂ©e d’un hiver rude. Le capitaine Billy Bones continue de boire du rhum malgrĂ© les avertissements du docteur Livesey. Un jour, un homme aveugle offrant une vision terrifiante se pointe devant l’auberge en faisant semblant d’ignorer oĂą il se trouve. Il affirme Ă Jim qu’il a perdu la vue au service du roi Georges ; mais l’on comprend très vite que c’est un menteur et que sa vraie nature montre un homme cruel. C’est Pew l’aveugle qui vient remettre Ă Billy Bones la tache noire » une menace que lui envoient les pirates. FoudroyĂ© par une autre crise d’apoplexie, le capitaine dĂ©clare des propos incomprĂ©hensifs sur un certain trĂ©sor. Jim, apeurĂ© va chercher sa mère. RĂ©sumĂ© 2 Jim est triste Ă cause de la mort de son père. Un jour, il voit venir un homme aveugle ayant l'air dangereux. Ce dernier remet un message Ă Billy Bones, c'est la "tache noire".Billy Bones meurt d'une apoplexie foudroyante. Chapitre4 Après la mort foudroyante du capitaine Billy Bones, la mère de Jim dĂ©cide de prendre son dĂ» car le vieil homme mangeait, buvait et sĂ©journait Ă l’auberge gratuitement. Jim trouve la clĂ© du coffre du capitaine et monte avec sa mère dans la chambre de l’homme mort. Dans le coffre, ils trouvent beaucoup d’argent et un rouleau de toile cirĂ©e bien cousu. MĂŞme si son fils lui demande de prendre l’argent très vite car il apprĂ©hende l’arrivĂ©e des pirates Ă tout moment, celle-ci prĂ©fère compter son argent pour n’en prendre que ce qu’elle mĂ©rite. De loin, l’on entend de plus en plus le bruit des pirates. Il faut fuir et vite……Avant de sortir, Jim prend le rouleau de toile cirĂ©e… RĂ©sumĂ© 2 Le capitaine est mort. Jim et sa mère dĂ©cident de prendre leur dĂ» dans le coffre du capitaine. Ils y trouvent de l'argent et un rouleau de toile cirĂ©e que le garçon remet Ă ses amis, le docteur Livesey et le chevalier Trelawney Chapitre5 Lorsque la mère de Jim a compris qu’elle et son fils couraient un grand danger Ă l’arrivĂ©e de l’aveugle Pew et les autres pirates, elle s’évanouit presque en courant vers le pont pour se cacher. Les deux ont assistĂ© Ă une terrible scène de pillage oĂą les pirates ont montrĂ© une cruautĂ© et une sauvagerie sans limite .Pendant que Pew restait devant la porte en donnant des ordres, les autres ont dĂ©couvert le capitaine mort et sont allĂ©s Ă la chambre pour chercher dans son coffre. A travers la fenĂŞtre, un pirate a dĂ©clarĂ© Ă Pew qu’on avait tout pris et l’aveugle a criĂ© Ă haute voix qu’il regrettait de ne pas avoir arrachĂ© les yeux de Jim. Soudain la cavalerie est venue Ă l’auberge pour sauver Jim et sa mère. Les pirates se sont enfuis. L’aveugle, laissĂ© tout seul est Ă©crasĂ© par l’un des chevaux de la cavalerie. RĂ©sumĂ© 2 Les pirates attaquent l'auberge .Jim et sa mer se cachent sous le pont. La gendarmerie vient les secourir. Les pirates s'enfuient, mais leur chef, Pew l'aveugle meurt, Ă©crasĂ© par la chevalerie Chapitre6 Après la fuite des pirates et la mort de Pew, le chevalier Trelawney dĂ©cide qu’on emmène la mère de Jim au village sous la protection, des gens honnĂŞtes et emmène le garçon dans son château accompagnĂ© du docteur Livesey. Jim leur a dĂ©jĂ remis le rouleau de toile cirĂ©e. Le docteur se charge d’ouvrir avec beaucoup de prĂ©caution le rouleau, sous le regard de Jim et du chevalier Trelawney. Il y trouve le carnet de bord du capitaine qui contient des Ă©crits incompris et ….une carte de trĂ©sor ! Très vite, les amis prennent la dĂ©cision d’aller chercher le trĂ©sor ! RĂ©sumĂ© 2 Le docteur Livesey accompagnĂ© de Jim et du chevalier Trelawney, dans le château de ce dernier se charge d'ouvrir le rouleau apportĂ© par Jim. Ils y dĂ©couvrent la carte au trĂ©sor de Flint et dĂ©cident d'aller chercher le trĂ©sor. Chapitre7 Le chevalier Trelawney va Ă Bristol afin d’acheter un bateau et trouver un Ă©quipage tandis que le docteur Livesey se dirige vers Londres pour se faire remplacer Ă Black Hill. Jim reste au château du chevalier et s’ennuie car il n’a rien Ă faire. Souvent, il se met Ă rĂŞver des pirates et des aventures. Une lettre de Trelawney arrive au château. Puisque le docteur est absent, c’est Jim qui va la lire. Trelawney raconte comment il a acquis le bateau –qu’un enfant peut naviguer d’après lui- grâce Ă un ami riche. C'est L'Hispaniola Il raconte aussi qu’il a pu embaucher quelques marins et Ă leur tĂŞte le capitaine Smollet. Il Ă©voque aussi un vieux marin unijambiste qu’il a embauchĂ© comme maĂ®tre- coq. Ce dernier a mĂŞme remplacĂ© les marins recrutĂ©s par d’autres. Jim est inquiet. S’agit-il du marin unijambiste que redoutait tant le capitaine Billy Bones ? Trelawney a Ă©tĂ© trop bavard parce que tout le monde Ă Bristol Ă©tait au courant du trĂ©sor…. Jim va faire ses adieux Ă sa mère et rejoint son ami Ă Bristol. Deuxième texte Jim est très excitĂ© Ă l’idĂ©e d’aller vers l’aventure. Ce n’est plus le petit enfant qui servait son père et les marins Ă l’Amiral Benbow ; mais un vrai jeune homme qui est prĂŞt Ă prendre le large vers l’inconnu. AccompagnĂ© des domestiques du chevalier, il arrive Ă Bristol oĂą le docteur Livesey est dĂ©jĂ arrivĂ©. Trelawney est très enthousiaste et prend la dĂ©cision qu’ils voyageront le lendemain mĂŞme…. Chapitre8 Tout est fin prĂŞt pour le grand dĂ©part. Le bateau est Ă©quipĂ© et tous les marins sont Ă bord,….sauf le maĂ®tre coq. Jim est Ă©merveillĂ© devant toute cette effervescence. On l’envoie donc chercher le cuisinier qui gère une taverne nommĂ©e Longue-vue. Une fois arrivĂ©, Jim remarque un homme grand, puissant et…..unijambiste. Il s’appelle Long John Silver c’est lui la maĂ®tre –coq qui s’est chargĂ© de choisir l’équipage. Serait-il le pirate tant redoutĂ© par le capitaine Billy Bones ? Mais devant sa gentillesse et sa sympathie, le garçon oublie vite ces idĂ©es et affirme au marin » qu’il est attendu Ă bord. En s’adressant Ă lui, Jim aperçoit Chien Noir qui sort rapidement de la taverne. Jim demande qu’on l’arrĂŞte. Silver envoie deux hommes Ă sa recherche ; mais en vain. Les deux rejoignent L’Hispaniola. Chapitre9 Le jour du dĂ©part arrive enfin. Le capitaine Smollet montre au chevalier Trelawney son mĂ©*******ement il n'aime ni le voyage , ni l'Ă©quipage ni le second et exige que les munitions du bord soient entreposĂ©es sous la cabine et non dans la cale avant, près des marins. Le dĂ©part se fait dans la plus grande excitation. Tout l'Ă©quipage semble obĂ©ir Ă Silver et lève l'ancre en chantant le chant des pirates de Billy Bones..... Le voyage dure environs deux mois pendant lesquels le second se noie par une nuit de tempĂŞte .Pour Jim, le plus sympathique des hommes Ă©tait sans aucun doute Silver. Chapitre10 Le capitaine Smollet n’aime pas la manière dont le chevalier fait marcher l’équipage. Il lui reproche sa largesse et son air dĂ©bonnaire. Comme par exemple la barrique de pommes mise sur le pont Ă la disposition des marins. Une nuit, Jim va Ă la barrique pour chercher une pomme. Elle est presque vide. Le garçon s’y endort presque. C’est lĂ oĂą il va dĂ©couvrir la vraie nature de Silver qui discute avec d’autres marins en leur confie qu’il possède beaucoup d’argent alors qu’eux ils ne pensent jamais Ă Ă©conomiser. Le quartier-maĂ®tre IsraĂ«l Hands propose que les pirates se mutinent vite et tuent tout le monde. Silver le calme et lui dit qu’au contraire, il fallait attendre la dĂ©couverte du trĂ©sor et de frapper après un grand coup. Jim a failli ĂŞtre dĂ©couvert dans la barrique. Heureusement quelqu’un crie Terre !» Jim est triste car il faisait confiance Ă Silver qui se trouve ĂŞtre le chef des pirates. Chapitre11 Jim n'a Ă©tĂ© sauvĂ© que par le cri de la vigie qui signalait la terre. Très vite, il alla chez le docteur pour lui dĂ©clarer qu'il avait une nouvelle Ă lui annoncer et qu'il fallait chercher un moyen pour demander après lui lorsqu'ils seraient dans la cabine. Smollet offrit Ă tout l'Ă©quipage de boire en rĂ©compense Ă " leur très bon travail". Au fait, ce n'Ă©tait qu'un prĂ©texte pour les occuper afin que les amis de Jim puissent discuter calmement dans la cabine. AussitĂ´t dit, aussitĂ´t fait, Jim rejoignit vite ses amis et leur raconta tout ce qu'il avait entendu lorsqu'il se cachait dans la barrique de pommes. D'abord surpris, tous les amis, qui n’avaient pas oubliĂ© de remercier Jim, finirent par prendre la dĂ©cision de se calmer et de continuer comme si rien n'Ă©tait et de n'attaquer les mutins que lorsque le moment serait opportun. Le problème c'est qu'ils n'Ă©taient que sept, Jim inclus alors que les mutins Ă©taient dix -neuf. Le chevalier nĂ©anmoins confia Ă Jim qu'il pouvait jouer un grand rĂ´le puisque les pirates ne se mĂ©fiaient pas de lui. Chapitre12 Une fois que l'Hispaniola jeta l’encre, le capitaine Smollet permit Ă six marins de descendre sur terre. Jim prit une dĂ©cision folle celle de les accompagner .Il sa faufila pour Ă©viter que Silver ne le voie. Trop tard! Heureusement que le canot oĂą se trouvait le garçon Ă©tait en avance par rapport Ă celui de Silver. Une fois arrivĂ© Ă terre, Jim se sauva sans se prĂ©occuper des appels du maĂ®tre-coq... Chapitre13 Jim, après s'ĂŞtre sauvĂ© de Silver, prit la dĂ©cision d'Ă©pier celui -ci ainsi que les les autres pirates. Il Ă©tait dĂ©sespĂ©rĂ© et croyait qu'il allait mourir ou de faim ou d'un coup de pistolet. C'est ainsi qu'il assista de loin au meurtre de d'Alan et de Tom, deux marins honnĂŞtes qui refusèrent de suivre le complot de Silver. Jim Ă©tait triste, fatiguĂ© et impuissant. Il continua son chemin jusqu'Ă l'autre bout de l'Ă®le; une sorte de forĂŞt de pins de chĂŞnes .... Chapitre14 Lorsque Jim marchait Ă l'aveuglette dans l'Ă®le, des pierres tombèrent en avalanche de la colline. Instinctivement, le garçon leva les yeux et distingua une forme bizarre, poilue mais humaine. Le jeune garçon fut effrayĂ© et fuit alors que l'homme- singe le suivait en se faufilant entre les arbres. Tout Ă coup, l'homme hĂ©sita, s'arrĂŞta et s'agenouilla devant Jim en joignant les deux mains comme pour une prière. C'Ă©tait Ben Gunn, un marin que Silver avait maronnĂ© dans l'Ă®le il y a trois ans.... Chapitre15 Lorsque Jim aperçut Ben Gunn sur l’île, il le prit pour un singe tellement son aspect Ă©tait repoussant et sauvage. Une fois rassurĂ©, Ben Gunn raconta son histoire Ă Jim en lui expliquant comment il fut obligĂ© de passer trois ans sur l’île , seul et isolĂ© du monde jusqu’à en perdre la tĂŞte. Ben, qui Ă©tait un pirate, accompagnait Silver et Billy Bones lorsque leur chef Flint enterra le trĂ©sor. Lors d’un autre voyage, Ben tenta de trahir ses amis et essaya de retrouver seul le trĂ©sor. Il ne l’a pas Ă©videmment retrouvĂ© et fut dĂ©laissĂ© par ses amis Ă l’île. Chapitre16 Fin du premier jour de combat Le docteur Livesey continue le rĂ©cit .C’est le seul chapitre oĂą Jim n’occupe pas le statut du narrateur. Rappelons- nous que les Ă©vènements que le docteur raconte se sont produits alors que Jim Ă©tait sur l’île, en train de fuir les pirates. Les amis de Jim descendent sur terre et dĂ©couvrent un fortin construit par Flint. Ils s’y installent et dĂ©cident de revenir au bateau pour chercher du ravitaillement. A leur retour, ils sont attaquĂ©s par les hommes de Silver. Ils se prĂ©parent Ă se dĂ©fendent et choisissent les meilleurs tireurs. Les pirates, impitoyables, attaquent sauvagement. Des coups de feu partent des deux camps. Un pirate tombe, mort, tandis que ses amis font demi-tour. Les amis de Jim sont plutĂ´t satisfaits. Mais un coup de feu touche Tom Redruth, et le tue. Chapitre17 Jim quitte Ben Gunn en lui promettant de plaider sa cause auprès du chevalier Trelawney afin qu’il puisse partager le butin avec eux et revenir chez lui Ă bord de l’Hispaniola. Le jeune garçon retrouve ses amis dans le fortin .Chacun raconte Ă l’autre les Ă©vènements passĂ©s en son absence. Ils enterrent Tom Redruth et font une prière devant sa tombe. Les chefs, Smollet, Trelawney et Livesey se rĂ©unissent en vue de prendre une dĂ©cision. Après mĂ»re rĂ©flexion, ils dĂ©cident de ne pas baisser les bras et de combattre les pirates et les pousser Ă quitter l’île Ă bord de l’Hispaniola. Faire la guerre Ă©tait leur unique issue ! Chapitre18 Jim et ses amis sont Ă©tonnĂ©s de voir Silver en tenue de capitaine accompagnĂ© d’un de ses hommes arborant un drapeau blanc. Le capitaine Smollet va Ă sa rencontre. Silver explique Ă Smollet que leur victoire sur lui est due au fait que ses hommes avaient bu trop de rhume. Il exige de Smollet de lui rendre la carte .Ce dernier se met en colère. Le pirate commence ensuite par nĂ©gocier une solution avec ses ennemis qui doivent choisir entre rendre la carte ou mourir. Devant cette nouvelle menace, Smollet montre Ă Silver que ses amis et lui ne craignent personne et s’ils veulent la guerre, ils l’auront. Silver s’en va sans oublier de menacer ses ennemis et de prononcer des jurons comme Ă son habitude. Chapitre19 Les pirates ont subi une grosse perte de la part des amis de Jim. Ces derniers profitent de la trĂŞve afin de soigner les blessĂ©s. C’est le docteur Livesey qui s’en occupe. Les autres prĂ©parent le repas du soir. Sans rien dire Ă ses amis, Jim emporte des biscuits, une paire de pistolets et quitte le fortin. Il va Ă la recherche de l’embarcation de Ben Gunn que ce dernier a cachĂ©e sous une tente. C’est un petit canot. Notre hĂ©ros, ayant pris goĂ»t Ă l’aventure, prend alors une dĂ©cision folle aller vers l’Hispaniola, couper les cordes afin qu’elle change de direction et que les pirates ne puissent plus l’utiliser. Chapitre20 Jim trouve beaucoup de difficultĂ©s Ă manier le canot de Ben Gunn. La frĂŞle embarcation tourne dans tous les sens Ă cause des vagues. MalgrĂ© tout, notre jeune homme atteint l’Hispaniola un peu grâce Ă la marĂ©e. Les vagues, le bateau qui risque de l’emporter, ne lui facilitent pas la tâche. Il y parvient enfin et le bateau se met Ă virer Ă travers le courant. Ayant peu d’être projetĂ© par la force des mouvements, Jim se suspend Ă une corde, se hisse et regarde Ă travers la fenĂŞtre. Il surprend IsraĂ«l Hands qui se bat avec un compagnon. Ils n’ont rien senti. Ce n’est que plus tard qu’ils comprennent que le bateau bouge. Ils arrĂŞtent de se battre et vont pour le stopper. Jim, trop fatiguĂ©, se laisse endormir dans le canot qui est sous l’emprise de la houle. Chapitre21 Après que Jim a pu dĂ©tourner le bateau de sa place, il se sent tellement Ă©puisĂ© qu’il s’endort au fond du canot que les vagues emportent au loin. Il passe ainsi toute la nuit. Le matin, notre hĂ©ros se rĂ©veille et constate qu’à son bonheur les vagues ont poussĂ© la canot vers l’île. Il est Ă l’extrĂ©mitĂ© du sud –ouest de l’île au trĂ©sor. Il prend la dĂ©cision d’arborer. Mais c’est presque impossible vu les rochers inaccessibles qui entourent l’île de ce cĂ´tĂ©-lĂ . Chapitre22 Impossible pour Jim de revenir Ă l’île car les vagues emportent le canot vers l’Hispaniola. Le jeune homme arrive Ă sauter dans le bateau après beaucoup de difficultĂ©s. Il surprend IsraĂ«l Hands en train de se battre avec O’Brien qui est vite tuĂ© par son adversaire. IsraĂ«l est quant Ă lui blessĂ©. Jim lui propose de le soigner Ă condition de lui montrer comment mener l’Hispaniola en lieu sĂ»r. Jim n’a pas du tout confiance en Hands car il a remarquĂ© qu’il cachait un couteau dans sa blouse. Jim a raison car très vite Hands l’attaque et veut le tuer. Toute tentative d’attaquer ou de se dĂ©fendre est difficile car le bateau continue Ă ĂŞtre tirĂ© par le courant. Il touche enfin le fond et chavire sur bâbord. Jim arrive quand mĂŞme Ă charger ses deux pistolets. Hands voulant le tuer, le blesse Ă l’épaule .C'est lĂ que Jim tire sur son ennemi. Celui-ci blessĂ© Ă mort plonge dans l'eau. Chapitre23 Avec beaucoup de courage, Jim rĂ©ussit Ă faire Ă©chouer l’Hispaniola. Il dĂ©cide alors de rejoindre ses amis dans le fortin. Surprise ! Celui-ci est occupĂ© par Silver et ses hommes. Le pirate lui fait savoir que ses amis ne veulent plus de lui et lui propose donc de rejoindre son camp. Il lui explique aussi que durant son absence, il a fait un marchĂ© avec Livesey qui a acceptĂ© de laisser le fortin, les provisions, l’eau-de-vie, le blockhaus Ă Silver Ă condition que ce dernier les laisse partir. Jim, poussĂ© d’un Ă©lan de courage, finit par avouer Ă Silver avec beaucoup de fiertĂ© qu’il sait tout Ă leur sujet depuis la nuit oĂą il Ă©tait dans la barrique de pommes, que c’est lui qui a cachĂ© la goĂ©lette. Les pirates veulent le tuer. Il fait un marchĂ© avec Silver en lui demandant de le protĂ©ger en lui promettant de plaider en sa faveur une fois rentrĂ©s en Angleterre. C’est la première fois oĂą Silver devient humain et sympathique aux yeux de Jim et du lecteur. Chapitre24 Les pirates ne sont pas du tout d’accord avec Silver qui dĂ©fend de plus en plus Jim. Ils voient cela d’un mauvais Ĺ“il. Ils dĂ©cident de tuer le jeune garçon Ă la première occasion. Mais Silver est lĂ . Les pirates font la rĂ©bellion et dĂ©cident de remettre la tâche noire .Silver garde Jim auprès de lui en suivant les autres pirates se prĂ©cipitent rapidement vers la cachette du trĂ©sor. Soudain, un cri strident se fait entendre. Silver et Jim accourent pour voir ce qui se passe.. Ce sont les pirates qui ont dĂ©couvert la cachette du trĂ©sor vide ! Chapitre25 Les pirates ont remis la tache noire Ă Silver. Celui-ci les avertit qu’ils seront punis car ils ont osĂ© dĂ©chirer la bible pour y Ă©crire l’avertissement. Tout le monde est maintenant choquĂ© car le trĂ©sor a disparu. Tout le monde est Ă bout de nerfs. ExceptĂ© Silver qui garde son sang froid et remet Ă Jim un pistolet pour se dĂ©fendre en cas d’attaque. Justement l’un des pirates vise pour tirer sur Jim et Silver. Soudain, des coups de feu partent des buissons .Merry et un autre pirate meurent sur le coup. Les autres s’enfuient. Le jeune garçon et Silver descendent la colline .Ils finissent par rencontrer les amis de Jim C’est lĂ oĂą Jim comprend tout ce qui s’est passĂ© en son absence. Le docteur Livesey lui raconte que c’est Ben Gunn qui avait tout manigancĂ© il avait d’abord cachĂ© le trĂ©sor deux mois avant l’arrivĂ©e de l’Hispaniola Le docteur savait tout cela quand il avait remis la carte Ă Silver. D’ailleurs grâce Ă Ben Gunn, ils pouvaient consommer la viande salĂ©e que l’homme de l’île gardait dans sa grotte. RESUME DE LA PARTIE VI de l’île au trĂ©sor DE Robert Louis Stevenson 28 - Silver prit la dĂ©fense de Jim et lui apprit que le docteur lui avait remis la carte du trĂ©sor. 29 – Les pirates, tenant Silver comme responsable de leur Ă©chec, lui remirent la tache noire mais il rĂ©ussit vite Ă retourner la situation en sa faveur et retint Jim comme otage. 30 – Le docteur vint au fortin pour examiner les pirates atteints de malaria, rĂ©ussit Ă s’entretenir un bref instant avec Jim et promit son aide Ă Silver. Ce dernier fut alors accusĂ© par les pirates de jouer double jeu. 31 – En route vers la cachette du trĂ©sor, les pirates dĂ©couvrirent le squelette d’Allardyce, l’un des marins tuĂ©s par Flint. Ayant constatĂ© que ses effets personnels avaient disparu, les flibustiers prirent peur, craignant que Flint ne soit encore en vie. 32 – Les pirates entendirent une voix comme celle de flint et prirent peur de nouveau mais Silver reconnut la voix de Ben Gunn. ArrivĂ©s dans la grotte, ils dĂ©couvrirent que le trĂ©sor avait disparu. 33 – Les mutins s’apprĂŞtaient Ă tirer sur Silver et Jim mais le docteur et ses amis, arrivĂ©s au moment opportun, firent feu. Georges Merry fut abattu et les quatre autres qui prirent la fuite seraient marronnĂ©s. Silver se rallia alors aux adjuvants. 34 – Enfin, on dĂ©couvrit le trĂ©sor que Ben Gunn avait dĂ©placĂ© et, après l’avoir chargĂ© Ă bord de l’Hispaniola, on reprit le chemin vers Bristol. Profitant d’une escale, Silver disparut en emportant deux ou trois cents guinĂ©es. Jim et ses amis furent un retour triomphal Ă Bristol et chacun eut sa part du trĂ©sor dont il profita selon sa nature. FIN Gray est devenu second sur un beau navire dont il possède une est mariĂ© et père de famille. Ben Gunn reçut un millier de livres qu’il dĂ©pensa ou perdit en 19 jours. Il mendiait dĂ©jĂ au 20ème. On lui trouva ensuite une place de portier. Silver a peut-ĂŞtre rejoint sa nĂ©gresse et mène une vie heureuse avec elle et son perroquet ’capitaine Flint ’. RESUME DES CHAPITRES DE L'LE AU TRESOR Le vieux de loup de mer Ă l'Amiral Benbow Jim, un jeune, garçon d’environ treize ans habitant Black Hill, voit arriver Ă l’auberge L’Amiral Benbow »tenu par son père et sa mère, un vieux marin d’un aspect louche, et effrayant il est lourd, souillĂ© et portant une grosse caisse entre Ă l’auberge, commande du rhum et dĂ©clare Ă l’aubergiste son intention de s’installer Ă L’Amiral Benbow car le lieu lui convient sans oublier de se prĂ©senter en tant que "le capitaine" de lui jeter trois pièces d'or...... Depuis son installation Ă l'auberge, le capitaine qui devient de plus taciturne ,passe toute la journĂ©e Ă errer dans la baie ou sur la falaise sa langue vue Ă la main en scrutant l' soir, il Ă©vitait les autres marins qui viennent le soir animer l' semblait fuir tout le monde ....OĂą Chien Noir fait une apparition ? Un jour, pendant que le capitaine Billy Bones Ă©tait en train d’errer sur la falaise comme d 'habitude, un homme vint Ă sa recherche en se faisant passer pour son vieil ami. Jim ne l’a pas du tout cru car il ses gestes se contredisaient avec ses faits d’abord il empĂŞcha Jim de sortir prĂ©venir le capitaine ; ensuite il força le jeune garçon Ă se cacher derrière la porte afin de surprendre le vieux attitude menaçante et son aspect violent devinrent clairs lorsqu’une grosse dispute se dĂ©clencha entre lui et son soi –disant ami. Très vite, Jim entendit les deux hommes qui se battaient .Chien Noir, blessĂ© Ă l’épaule gauche s’enfuit alors que le vieux Bill succomba Ă sa première crise d’ tache noire . Le père de Jim très malade meurt et laisse son fils dans une grande tristesse renforcĂ©e d’un hiver rude. Le capitaine Billy Bones continuait de boire du rhum malgrĂ© les avertissements du docteur jour, un homme aveugle offrant une vision terrifiante se pointe devant l’auberge en faisant semblant d’ignorer oĂą il se trouve. Il affirme Ă Jim qu’il a perdu la vue au service du roi Georges ; mais l’on comprend très vite que c’est un menteur et que sa vraie nature montre un homme cruel. C’est Pew l’aveugle qui vient remettre Ă Billy Bones la tache noire » une menace que lui envoient les pirates. FoudroyĂ© par une autre crise d’apoplexie, le capitaine dĂ©clare des propos incomprĂ©hensifs sur un certain trĂ©sor. Jim , apeurĂ© va chercher sa coffre de mer. Après la mort foudroyante du capitaine Billy Bones, la mère de Jim dĂ©cide de prendre son dĂ» car le vieil homme mangeait, buvait et sĂ©journait Ă l’auberge gratuitement. Jim trouve la clĂ© du coffre du capitaine et monte avec s mère dans la chambre de l’homme mort. Dans le coffre, ils trouvent beaucoup d’argent et un rouleau de toile cirĂ©e bien cousu. MĂŞme si son fils lui demande de prendre l’argent très vite car il apprĂ©hende l’arrivĂ©e des pirates Ă tout moment, celle-ci prĂ©fère compter son argent pour n’en prendre que ce qu’elle mĂ©rite. De loin, l’on entend de plus en plus le bruit des pirates. Il faut fuir et vite……Avant de sortir , Jim prend le rouleau de toile cirĂ©e…La fin de l'aveugle. Lorsque la mère de Jim a compris qu’elle et son fils couraient un grand danger Ă l’arrivĂ©e de l’aveugle Pew et les autres pirates, elle s’évanouit presque en courant vers le pont pour se cacher. Ils ont assistĂ© Ă une terrible scène de pillage oĂą les pirates ont montrĂ© une cruautĂ© et une sauvagerie sans limite .Pendant que Pew restait devant la porte en donnant des ordres, les autres ont dĂ©couvert le capitaine mort et sont allĂ©s Ă la chambre pour chercher dans son coffre. A travers la fenĂŞtre, un pirate a dĂ©clarĂ© Ă Pew qu’on avait tout pris et l’aveugle a criĂ© Ă haute voix qu’il regrettait de ne pas avoir arracher les yeux de la cavalerie est venue Ă l’auberge pour sauver Jim et sa mère. Les pirates se sont enfuis . L’aveugle , laissĂ© tout seul est Ă©crasĂ© par l’un des papiers du capitaine Après la fuite des pirates et la mort de Pew, le chevalier Trelawny dĂ©cide qu’on emmène la mère de Jim au village sous la protection, des gens honnĂŞtes et emmène le garçon dans son château accompagnĂ© du docteur Livesey. Jim leur a dĂ©jĂ remis le rouleau de toile cirĂ©e. Le docteur se charge d’ouvrir avec beaucoup de prĂ©caution le rouleau , sous le regard de Jim et du chevalier Trelawny. Il y trouve le carnet de bord du capitaine qui contient des Ă©crits incompris et ….une carte de trĂ©sor !Très vite , les amis prennent la dĂ©cision d’aller chercher le trĂ©sor !Je vais Ă texte La lettre du chevalier Trelawney Le chevalier Trelawney va Ă Bristol afin d’acheter un bateau et trouver un Ă©quipage tandis que le docteur Livesey se dirige vers Londres pour se faire remplacer Ă Black Hill. Jim reste au château du chevalier et s’ennuie car il n’a rien Ă faire. Souvent, il se met Ă rĂŞver des pirates et des lettre de Trelawney arrive au château. Puisque le docteur est absent, c’est Jim qui va la lire. Trelawney raconte comment il a acquis le bateau –qu’un enfant peut naviguer d’après lui- grâce Ă un ami riche. C'est L'Hispanolia Il raconte aussi qu’il a pu embaucher quelques marins et Ă leur tĂŞte le capitaine Smolett . Il Ă©voque aussi un vieux marin unijambiste qu’il a embauchĂ© comme maĂ®tre- coq. Ce dernier a mĂŞme remplacĂ© les marins recrutĂ©s et en trouve lui-mĂŞme d’ est inquiet. S’agit-il du marin unijambiste que redoutait tant le capitaine Billy Bones ? Trelawney a Ă©tĂ© trop bavard parce que tout le monde Ă Bristol Ă©tait au courant du trĂ©sor….Jim va faire ses adieux Ă sa mère et rejoint son ami Ă texte Jim est très excitĂ© Ă l’idĂ©e d’aller vers l’aventure. Ce n’est plus le petit enfant qui servait son père et les marins Ă l’Amiral Benbow ; mais un vrai jeune homme qui est prĂŞt Ă prendre le large vers l’ des domestiques du chevalier, il arrive Ă Bristol oĂą le docteur Livesey est dĂ©jĂ arrivĂ©. Trelawney est très enthousiaste et prend la dĂ©cision qu’ils voyageront le lendemain mĂŞme….A l'enseigne de La Langue est fin prĂŞt pour le grand dĂ©part. Le bateau est Ă©quipĂ© et tous les marins sont Ă bord,….sauf le maĂ®tre coq. Jim est Ă©merveillĂ© devant toute cette effervescence. On l’envoie donc chercher le cuisinier qui gère une taverne nommĂ©e Longue-vue. Une fois arrivĂ©, Jim remarque un homme grand, puissant et…..unijambiste. Il s’appelle Long John Silver c’est lui la maĂ®tre –coq qui s’est chargĂ© de choisir l’équipage. Serait-il le pirate tant redoutĂ© par le capitaine Billy Bones ? Mais devant sa gentillesse et sa sympathie, le garçon oublie vite ces idĂ©es et affirme au marin » qu’il est attendu Ă bord. En s’adressant Ă lui, Jim aperçoit Chien Noir qui sort rapidement de la taverne. Jim demande qu’on l’arrĂŞte. Silver envoie deux hommes Ă sa recherche ; mais en vain. Les deux rejoignent L’ voyage. Le jour du dĂ©part arrive enfin. Le capitaine Smollett montre au chevalier son mĂ©contentement il n’aime ni le voyage, ni l’équipage, ni le second. Il exige que les munitions du bord soient entreposĂ©es sous la cabine, et non dans la cale avant, près des dĂ©part se fait dans la plus grande excitation. Tout l’équipage semble obĂ©ir Ă Silver, et lève l’ancre en chantant la chanson de pirate de Billy Bones…Le voyage dure environ deux mois, pendant lesquels le second se noie par une nuit de tempĂŞte. Le plus sympathique des hommes d’équipage est le cuisinier, John que j'entendis dans la barrique de pommes. Le capitaine Smolett n’aime pas la manière dont le chevalier fait marcher l’équipage. Il lui reproche sa largesse et son air dĂ©bonnaire. Comme par exemple la barrique de pommes mise sur le pont Ă la disposition des nuit, Jim va Ă la barrique pour chercher une pomme. Elle est presque vide. Le garçon s’y endort presque. C’est lĂ oĂą il va dĂ©couvrir la vraie nature de Silver qui discute avec d’autres marins en leur confie qu’il possède beaucoup d’argent alors qu’eux ils ne pensent jamais Ă Ă©conomiser. Le quartier-maĂ®tre IsraĂ«l Hands propose que les pirates se mutinent vite et tuent tout le monde. Silver le calme et lui dit qu’au contraire, il fallait attendre la dĂ©couverte du trĂ©sor et de frapper après un grand coup. Jim a failli ĂŞtre dĂ©couvert dans la barrique. Heureusement quelqu’un crie Terre ! »Jim est triste car il faisait confiance Ă Silver qui est en fait le chef des de guerre. Jim n'a Ă©tĂ© sauvĂ© que par le cri de la vigie qui signalait la terre. Très vite , il alla chez le docteur pour lui dĂ©clarer qu'il avait une nouvelle Ă annoncer et qu'il fallait chercher un moyen pour demander après lui lorsqu'ils seraient dans la cabine. Smolett offrit Ă tout l'Ă©quipage de boire en rĂ©compense Ă " leur très bon travail". Au fait, ce n'Ă©tait qu'un prĂ©texte pour les occuper afin que les amis de Jim puissent discuter calmement dans la cabine. AussitĂ´t dit, aussitĂ´t fait, Jim rejoignit vite ses amis et leur raconta tout ce qu'il avait entendu lorsqu'il se cachait dans la barrique de surpris, tous les amis, qui n' avaient pas oubliĂ© de remercier Jim , finirent par prendre la dĂ©cision de se calmer et de continuer comme si rien n'Ă©tait et de n'attaquer les mutins que lorsque le moment serait opportun. Le problème c'est qu'ils n'Ă©taient que sept, Jim inclus alors que les mutins Ă©taient dix -neuf. Le chevalier nĂ©anmoins confia Ă Jim qu'il pouvait jouer un grand rĂ´le puisque les pirates ne se mĂ©fiaient pas de commence mon aventure ? Une fois que l'Hispaniola jeta l'encre , le capitaine Smolett permit Ă six marins de descendre sur prit une dĂ©cision folle celle de les accompagner .Il sa faufila pour Ă©viter que Silver ne le tard! Heureusement que le canot oĂą se trouvait le garçon Ă©tait en avance par rapport Ă celui de Silver. Une fois arrivĂ© Ă terre, Jim se sauva sans se prĂ©occuper des appels du maĂ®tre-coq....Le premier coup. Jim, après s'ĂŞtre sauvĂ© de Silver, prit la dĂ©cision d'Ă©pier celui -ci et les autres ainsi qu'il assista de loin au meurtre de d'Alan et de Tom , deux marins honnĂŞtes qui refusèrent de suivre le complot de Silver. Jim Ă©tait triste , fatiguĂ© et impuissant..Il continua son chemin jusqu'Ă l'autre bout de l'Ă®le une sorte de forĂŞt de pins de chĂŞnes ....L'homme de l'Ă®le. Des pierres tombèrent en avalanche de la Jim leva les yeux et distingua une forme bizarre, poilue mais jeune garçon fut effrayĂ© et fuit alors que l'homme-singe le suivait en se faufilant entre les arbres. Tout Ă coup, l'homme hĂ©sita, s'arrĂŞta et s'agenouilla devant Jim en joignant les deux mains comme pour une Ben Gunn, un marin que Silver avait maronnĂ© dans l'Ă®le il y a trois ans..... 402 426 162 121 206 351 180 63